Sion rentre dans le détail des équipements de ce Peugeot 3008, on y découvre de nouvelles attentions pour votre smartphone.Les informations sont intégrées à

Untest comparatif mené par une publication suédoise tend à démontrer qu'en voiture les commandes physiques se révèlent plus rapides et

Peugeot dominait jusque-là le marché français grâce à des best-sellers 208, 3008… au style affirmé et aux qualités reconnues. Renault vit cependant un regain de forme avec des modèles inédits et de nouvelles perspectives. Assez pour modifier le rapport de force ? Les gammes de ces deux emblématiques marques françaises se valent-elles ? Une question récurrente que se posent les futurs acheteurs et la rédaction d’Auto Plus, qui s’applique à guider au mieux leur choix. Ces derniers temps, le moral n’était pas au beau fixe chez Renault. Entre une affaire Carlos Ghosn embarrassante, la chute vertigineuse de son cours en Bourse entre 2018 et mars 2020 et des modèles parfois vieillissants Kadjar, Espace…, l’avenir semblait incertain. C’était sans compter le renouvellement complet de l’offre, déjà en cours Clio, Cap-tur, Arkana, Kangoo… , et qui vase poursuivre dans le futur avec le plan “Renaulution”, le tout orchestré désormais par Luca de Meo, nouveau directeur général depuis juillet dernier. Peugeot, de son côté, engrange les succès depuis quelques années, avec de vrais modèles marquants 3008, 508, 208, 2008… après avoir frôlé la faillite. Les ventes sont bonnes pour l’ensemble des catégories, la signature stylistique tranchée et le rajeunissement de la gamme n’y étant pas étrangers. Alors, renversement de situation en perspective ou simple mise en garde de la part de Renault ? Premiers éléments de réponse en huit confrontations. L’éternel duel entre les citadines Peugeot et Renault prend un nouveau virage. Vient d’abord le critère du style. A la calandre béante et aux “crocs” lumineux de la 208, la Clio réplique par des optiques en boomerang et par de larges épaulements. Le duel esthétique se poursuit à bord, où la Peugeot mise sur une ambiance quasi futuriste, quand la Renault se veut plus statutaire, mais aussi plus conventionnelle. La Clio prend toutefois l’avantage en matière d’équipements, notamment avec son GPS fourni de série. Dans cette version à bicarburation essence/GPL sans supplément de prix, elle offre aussi davantage d’espace à ses passagers arrière, mais marque le pas concernant le volume dévolu aux bagages, car son réservoir de gaz ampute le coffre de 50 dm3. La 208 peut sourire… Voire ricaner à la lecture des performances, puisqu’elle surclasse nettement la Renault sur ce point. Mais cette dernière a un joker aussi sobre que sa rivale quand elle rouleau sans-plomb, elle devient imbattable côté budget dès qu’elle carbure au GPL. Même si son appétit augmente alors significativement, ce gaz n’est facturé que 0,85 €/litre. Et puis, avec deux réservoirs, l’autonomie flirte avec les 1 200 km. Enfin, à la surprise générale, la Clio fait preuve désormais d’un comportement routier plus aiguisé que la 208. Au final, c’est elle qui l’emporte grâce à son faible coût d’utilisation aux 100 km dans cette version GPL. La Renault Zoe caracole entête des ventes d’autos électriques avec sa batterie de grande capacité et son autonomie de 320 km en moyenne. Puissante, la version R135 assure une réelle polyvalence. Mais voici que Peugeot propose aussi une petite électrique à la robe sexy. Dotée d’une “pile” de 50 kWh et d’un moteur tout aussi puissant, l’e-208 se montre plus performante que sa rivale. Au prix cependant d’une consommation d’énergie supérieure qui restreint son rayon d’action à 267 km selon nos mesures… Une valeur moyenne compensée en partie par des temps de recharge plus courts sur Wall-box comme sur bornes rapides. La Lionne électrique dispose aussi d’un châssis plus affûté qui rend sa conduite plus plaisante. Au quotidien, la Zoe offre davantage d’espace à l’arrière et son coffre apparaît plus pratique, mais l’ambiance à bord est un brin plus classique. L’e-208, elle, joue la carte de la modernité, et sa finition se situe un léger cran au-dessus, tout comme sa dotation de série, avec la caméra de recul et le radar de stationnement. Et si la Renault embarque d’emblée un chargeur Caméléon, capable des’adapter aux puissances allant jusqu’à 22 kW encourant alternatif, elle facture 1 000 € la possibilité de recharges rapides, limitées en outre à 50 kW 100 kW de série pour la Peugeot. Au final, ce duel très serré tourne malgré tout, de justesse, à l’avantage de la Zoe, moins chère et plus autonome. Avec l’abandon du diesel, le Captur compte désormais sur des moteurs essence classiques, hybrides et hybrides rechargeables. De plus, le SUV citadin a récemment adopté une nouvelle déclinaison de son TCe, associé à une micro-hybridation en 12 V. Fort de 140 ch, ce quatre cylindres offre un bel agrément et du répondant à bas régime. En face, le PureTech de 130 ch semble moins à son aise sous le capot du Peugeot 2008. Avec un cylindre en moins et un léger déficit en souplesse, il est nettement distancé lors des accélérations et relances. Il fait néanmoins jeu égal en matière de consommation, sauf en ville où il modère davantage son appétit. Rompant avec les habitudes de la génération précédente, c’est le 2008 qui s’avère maintenant le plus confortable des deux. Plus sec sur les ornières, notamment en raison de sa monte en 18”, et plus sujet aux bruits aérodynamiques sur autoroute, le Captur maîtrise toutefois mieux ses mouvements de caisse. Abord, celui-ci fait aussi valoir sa banquette coulissante, bien pratique dans le cadre d’une utilisation familiale pour arbitrer entre coffre et passagers. Les deux rivaux se valent presque côté habitabilité. L’écart se creuse définitivement en matière de rapport équipement/ prix. En finition RS Line, le Captur en donne un peu plus chargeur par induction, jantes de 18”… et son tarif est légèrement inférieur. La 308 actuelle vit ses dernières semaines avant une relève assurée à la fin de l’été. Une retraite prochaine qui n’est pas sans rebondissements, puisque la crise mondiale des semi-conducteurs la prive de ses compteurs numériques une remise supplémentaire de 400 € est accordée. Néanmoins, la compacte sochalienne est loin d’avoir dit son dernier mot, avec une ligne toujours dans le coup. Revue en 2020, la Mégane choie aussi son minois avec la greffe de nouvelles optiques à leds. A l’intérieur, le Losanges’est surtout attelé à améliorer la dotation de sa compacte, avec un équipement suffisant dans cette série Limited GPS, radar de stationnement avant…. Un peu mieux lotie à ce chapitre caméra de série, la 308 se distingue par un habitacle plus cossu et surtout un coffre netde mieux. Pour ceux qui avalent les kilomètres, le choix du diesel est encore d’actualité. Le BlueHDi de la 308 fonctionne très bien avec la transmission EAT8. Moins agréable à l’usage, notamment en raison de quelques à-coups générés parla boîte EDC7 en ville, le Blue dCi se rattrape avec un appétit encore plus modéré. Sur route, la Mégane rassure et ne néglige pas le confort, mais la 308 est assurément celle qui donne davantage le sourire au volant. Belle surprise aussi pour le portefeuille, avec un prix encore plus serré pour la Peugeot remise de 18 % contre 10 %. Le nouveau Kangoo est méconnaissable, notamment à bord style moderne, matériaux moins rustiques, commandes plus ergonomiques volant réglable en hauteur et, désormais, en profondeur lui permettent de rattraper le retard pris sur son rival. Car ce derniers’est beaucoup modernisé en 2018, abandonnant au passage le nom de Partner Tepee pour celui de Rifter. Mais dans cette finition Style la plus élevée possible avec le BlueHDi de 100 ch, il est moins élégant que le Kangoo en Intens. Le Renault se distingue aussi en termes d’aspects pratiques. Il dispose ainsi de rangements volumineux et faciles d’accès pour le conducteur, tels que le grand tiroir en guise de boîte à gants et le bac au-dessus du bloc instrumentation, fermé par un couvercle pour cacher les objets entreposés. Aux places arrière, aucune différence majeure les passagers bénéficient d’un vaste espace chez les deux rivaux, et profitent d’un confort satisfaisant dans l’ensemble. En revanche, avantage au Rifter pour le volume de coffre +72 dm3. A la conduite, le Kangoo, un peu moins performant, mais légèrement plus sobre sur autoroute, fait la différence en agilité et au freinage. Certes, faute de grosses remises au lancement, la note est plus salée que chez Peugeot. Mais elle est largement compensée par de nombreux équipements souvent indisponibles ou optionnels sur le Rifter. De quoi l’aider à l’emporter, sur le fil. Perdre la bataille, ce n’est pas perdre la guerre. Renault l’a bien compris. Face à un Peugeot 3008 qui domine la catégorie depuis près de quatre ans, il dédouble son offre en plus du Kadjar, bientôt renouvelé, voici l’Arkana, un SUV coupé. Celui-ci s’affiche à des tarifs nettement inférieurs, bien qu’il ne puisse encore bénéficier de remises, et soigne sa dotation, notamment dans la finition haut de gamme RS Line. Il prend par ailleurs la main sur le plan mécanique, avec son moteur TCe à micro-hybridation, qui cumule les avantages plus “coupleux” que le bloc du 3008, il délivre de bonnes performances tout en se montrant plus sobre moins de 7 l/100 km sur route et autoroute. On note tout de même quelques à-coups générés parla boîte EDC, gênants à basse vitesse. Surtout, le Lion n’a pas dit son dernier mot. Sur la route, le 3008 reste impérial son petit trois cylindres ne démérite pas, et il se montre plus agile et plus dynamique à mener, tout en étant confortable et mieux insonorisé, notamment au-dessus de 110 km/h. En outre, il fait preuve d’un meilleur sens de l’accueil à bord, à l’avant comme à l’arrière. Quant à la présentation intérieure, c’est l’effet “waouh”, d’autant que la qualité d’assemblage a encore progressé. La marche était donc un peu haute pour l’Arkana, qui se pose néanmoins en alternative plus que convaincante pour qui veut rouler décalé dans un SUV coupé français. La 508 SW face à la Talisman Restylée l’automne dernier en même temps que la berline, la Talisman Estate en a profité pour soigner sa plastique et revoir sa dotation technologique compteurs numériques et écran multimédia dernier cri. Ellen’a plus à rougir face à la 508 SW, qui conserve cependant une présentation plus flatteuse, mais les diverses commandes de la Lionne sont moins faciles à utiliser. L’écart se creuse en matière d’habitabilité, avec une Talisman Estate qui chouchoute davantage ses passagers à l’arrière et qui enfonce le clou avec 70 dm3 de plus en volume de coffre ! La Peugeot reprend la main en matière d’équipements, avec la conduite autonome de niveau 2 et le hayon motorisé de série. Sous le capot de la Renault, le TCe de 160 ch est plutôt agréable et sobre. Néanmoins, il ne soutient pas la comparaison avec le PureTech de 180 ch. Deux raisons à cela la boîte EDC7, moins réactive que l’excellente EAT8, et le déficit en puissance, qui se paie cash à l’accélération. Côté comportement routier, le train avant de la 508 est un régal. Cela dit, lorsqu’elle est équipée des quatre roues directrices, la Talisman se montre encore plus agile, tout en procurant un meilleur confort de suspension. Bémol son moteur est un peu plus sonore. Le match bascule à la lecture des tarifs, avec un écart significatif au profit de la Talisman Estate, grâce à une généreuse ristourne 17 % contre 5 % qui lui donne la victoire finale. Estate Le 5008 face au Grand Scénic Le 5008 a mué en SUV, mais il conserve sept places de série et les aspects pratiques du monospace qu’il était jadis. Resté fidèle au profil monovolume, le Grand Scénic a, lui, troqué les trois sièges arrière coulissants de ses prédécesseurs pour une simple banquette 2/3-1/3, dont seul le dossiers’articule en trois parties. De fait, il est moins aisé d’accéder au dernier rang plus étriqué au demeurant quand il faut manipuler le lourd module à deux places du rang central, côté droit. C’est cependant l’un de ses rares points faibles, car la banquette comme les deux sièges “clic-clac” du rang 3 se rabattent d’un doigt, via l’écran tactile ou les boutons situés dans le coffre, alors qu’il faut gérer chaque fauteuil individuellement chez Peugeot . Les deux modèles proposent la mise en tablette du siège passager avant et un coffre XXL en configuration cinq places. En revanche, on trouve plus de rangements chez Renault. Le 5008 se rattrape avec sa présentation plus léchée, sa meilleure position de conduite et un amortissement un peu plus doux. Difficile, par ailleurs, de ne pas louer son formidable “toucher de route”. Ce qui n’empêche pas de prendre du plaisir au volant du Grand Scénic, pourvu lui aussi d’un joli jeu de jambes. Avec 10 ch de plus, le duo TCe-boîte EDC6 procure surtout un agrément supérieur à celui du trois cylindres sochalien, mou en reprises. Plus vraiment à la mode, le monospace assure sa victoire grâce à une remise de 17 % ! T. R. Six matchs remportés sur huit voilà qui confirme indiscutablement le retour de Renault aux affaires, après une longue période en demi-teinte. Avec une gamme sur le point d’être presque entièrement rajeunie, le Losange rend coup pour coup à son rival de toujours les 208 et Clio ont été renouvelées simultanément, tout comme les 2008 et Captur, tandis que les nouveaux Kangoo et Arkana donnent enfin une réplique sérieuse aux 3008 et Rifter. Quant aux modèles vieillissants qui subsistent dans la gamme Talisman, Scénic…, ils sont loin d’être largués et profitent de remises importantes pour compenser leur âge. Pas étonnant, dans ces conditions, que presque chaque match se conclue par un score final très serré.

Faceà face technique entre : Peugeot 3008 HYbrid4 et Renault Scenic Vision. Qui va remporter le comparateur automobile ? Les réponses sont ici !

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