Pixels Réalité virtuelle Le nouvel outil développé par Facebook Reality Labs permet de créer des réunions de travail en totale immersion. A l’occasion de sa sortie en Beta sur Oculus Quest 2, jeudi 19 août, nous avons participé à une conférence de presse virtuelle. Article réservé aux abonnés J’ai toujours eu une fascination relativement lointaine pour la réalité virtuelle. Comme de nombreux fans de science-fiction, j’ai déjà vu Ready Player One 2018, le film de Steven Spielberg, en me disant que ce serait vraiment super s’il existait un jour une telle expérience. Ces dernières années, je n’ai d’ailleurs rien manqué des concerts virtuels époustouflants de Travis Scott et Ariana Grande dans Fortnite où des dizaines de millions de joueurs se sont connectés à travers le monde. Comme d’autres entrepreneurs de la Silicon Valley, Mark Zuckerberg est fasciné par le metavers », un concept inspiré d’un monde virtuel fictif décrit dans le roman de Neal Stephenson, Le Samouraï virtuel 1992. Voyez-le comme un Internet incarné, expliquait, en juillet, le patron du géant de la tech, dans un long entretien dans The Verge. Au lieu de simplement voir du contenu, vous êtes à l’intérieur » du contenu. Bien que n’ayant jamais porté de casque virtuel de ma vie, j’ai toujours trouvé ce projet assez séduisant. Alors, quand on m’a proposé d’assister à la présentation d’un nouvel outil de réalité virtuelle développé par Facebook, je me suis dit que c’était l’occasion idéale d’en apprendre un peu plus sur ce monde naissant. Lire aussi Réalité virtuelle les casques gardent une énorme marge de progression Quelle ne fut pas ma déception en apprenant que l’outil en question n’était pas un nouveau jeu ou une expérience insolite de découverte de l’espace, mais… une salle de réunion virtuelle. Une application appelée Horizon Workplace, qui sort jeudi 19 août en version Beta sur les boutiques en ligne d’Oculus Quest 2, le casque VR de Facebook. Moi qui me voyais déjà dans Ready Player One, j’ai droit à une version des réunions zoom. Une fausse Bretonne dans la Silicon Valley Quelques minutes avant le début de la présentation, me voici donc avec un casque ridicule sur la tête, prête à choisir mon avatar pour la réunion de présentation. Après avoir longuement hésité à me parer d’une magnifique chevelure rose fuchsia et d’un regard émeraude, je décide finalement de rester sobre. Pour une première rencontre avec des exécutifs de l’entreprise américaine, mieux vaut faire une bonne impression. Vêtue d’une marinière et d’un pull jaune inspiré des cirés bretons, je suis fin prête à découvrir cette nouvelle étape du multivers version Mark Zuckerberg. Une fois les ajustements techniques terminés, j’arrive alors dans une grande salle de réunion aux gigantesques fenêtres vitrées. Autour de moi, une petite dizaine de personnes cachées sous leur avatar attendent le début de la présentation, bien assis à leur place autour d’un grand bureau circulaire en bois. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Précurseurdes casques de réalité virtuelle, Oculus a conçu son casque durant de longues années, afin de pouvoir vous offrir cette expérience unique, chez vous, avec une mise en oeuvre d’une extrême simplicité. Ses optiques de qualité affichent une image en relief d’une précision redoutable. Inclus le jeu Lucky's Tale.
Bien que le concept existe depuis des décennies et que le milieu des années 90 ait connu de nombreuses tentatives en la matière, la réalité virtuelle semble n’avoir pris son envol que très récemment, essentiellement grâce à un nom Oculus Rift. Ce casque conçu par la compagnie américaine Oculus VR rachetée début 2014 par Facebook pour la coquette somme de 2 milliards de dollars, rappelons-le a en effet prouvé que la technologie était enfin mûre. Et, comme c’est souvent le cas lorsqu’un nouveau standard apparait, les imitateurs et autres suiveurs n’ont pas tardé à débarquer. Dans la galaxie Android, notamment, les propositions de casques de VR sont nombreuses et, surtout, abordables. Et pour cause il suffit de placer un smartphone dans un appareil en plastique/carton dépourvu d’électronique pour profiter d’une expérience de réalité virtuelle convaincante. Bref, pour moins de 10 euros, vous avez désormais la possibilité de partir dans cette dimension nouvelle et intrigante. Si vous hésitez sur le choix de l’appareil, les lignes qui suivent vous sont destinées. Samsung Gear VR Prix 199 dollars Faites place à la Rolls des casques sous Android le Gear VR ! Le premier appareil de réalité virtuelle de Samsung est en effet un très bel objet, qui a de plus le mérite de proposer une expérience extrêmement immersive. Nous avons pu l’essayer pendant une petite heure et il faut avouer qu’il nous a largement convaincus. Très confortable, il profite d’un design moderne et agréable, qui isole suffisamment de la lumière extérieure. Une fois le casque sur le nez, une interface propriétaire prend le relais. Développée par Oculus VR, celle-ci est belle, intuitive et, encore une fois, très immersive. Couplé avec la qualité de la dalle Super AMOLED QHD du Galaxy Note 4, c’est le bonheur. Oui, mais voilà le Gear VR n’est pas vraiment ce qu’on peut appeler un produit accessible. Vendu entre 200 et 300 dollars, pour le moment uniquement aux États-Unis, il n’est compatible qu’avec le Galaxy Note 4. À 650 euros en moyenne le smartphone, la facture est donc très salée… De plus, si on loue la qualité des applications développées par Oculus pour Samsung, on regrette que l’écosystème soit complètement fermé et qu’il soit impossible d’installer l’une des nombreuses apps de VR disponibles sur le Play Store. Qualités Sa finition, son design et son confort d’utilisation. La qualité de l’immersion qu’il procure. La surcouche logicielle développée par Oculus VR. La surface tactile sur le côté. Défauts Compatible uniquement avec le Note 4. Son écosystème fermé. Son prix et sa disponibilité. Homido Prix 69 euros Conçu par la société française du même nom, le casque Homido a tout de l’outsider que l’on n’attendait pas vraiment, mais qui s’avère une très bonne surprise. À première vue, le produit ne paie pas de mine, avec son design passe-partout et son omniprésence de plastique. Comme beaucoup de ses concurrents, il a par ailleurs un petit côté coque vide » un peu gênant. Rapidement, on se rend cependant compte de ses qualités la finition est très bonne, le système de fixation du smartphone très efficace presque impossible de le faire tomber une fois attaché et le confort d’utilisation est au rendez-vous. Entourée de mousse, la zone placée autour des yeux permet un usage prolongé, tandis que deux molettes permettent de régler le recul de l’image et l’alignement des lentilles. Seul vrai défaut la petite taille de l’appareil empêche l’utilisation avec des lunettes, à moins d’avoir une monture très fine. Heureusement, l’appareil est fourni avec trois paires de lentilles, chacune adaptée à différents types de vue. Très polyvalent, Homido accepte les smartphones de 4 à 5,7’’ et propose un FOV de 100°. Bref, un casque solide, bien pensé et abordable. Qualités Beaucoup de smartphones compatibles. Support de fixation efficace. Confortable à porter. Rapport qualité-prix. Défaut Impossible à utiliser avec des lunettes. Archos VR Glasses Prix 30 euros Soyons honnêtes si vous cherchez un casque de VR sous Android, ce n’est certainement pas le produit d’Archos que vous devez acheter. La marque française ne s’est en effet pas vraiment foulée avec ces VR Glasses, puisqu’il s’agit, ni plus ni moins, d’un appareil déjà disponible sur le marché chinois, que l’on peut aisément trouver moins cher sur de nombreux sites d’import. Passez cette petite précision, inspectons la bête de plus près finition douteuse, système de fixation mal fichu il faut écarter les deux côtés pour faire entrer l’appareil, le tout dans un bruit de grincement horripilant et arête au niveau du nez franchement inconfortable. N’en jetez plus le casque VR Glasses d’Archos n’a aucun intérêt, même à moins de 30 euros. Qualité Pas très cher Défauts Inconfortable à porter. Rebranding d’un produit chinois. Immersion à la ramasse. Finition médiocre. Stooksy VR-Spetik Prix 45 euros À mi-chemin entre un Homido et un Google CardBoard, le VR-Spektiv de Stooksy prend le parti du DIY Do It Yourself, soit un appareil à assembler soi-même. Point de carton ici cependant, mais de la mousse très souple et très légère, permettant de profiter d’un casque poids plume. Une fois commandé, vous recevez une simple plaque contenant des dizaines de pièces prédécoupées. Commence alors une longue séance de montage, qui rappellera les meilleurs » souvenirs de retours de chez Ikea. Assembler le VR-Spektiv requiert en effet patience et observation. Si les plans de constructions sont assez clairs, la matière utilisée une mousse souple, rappelons-le rend l’assemblage de certaines pièces difficile. Également, le strap » pour fixer l’appareil autour de sa tête a tendance à régulièrement se défaire… Mais bref, une fois que la bête a pris vie, il faut avouer que l’expérience est de qualité le smartphone de 4 à 5,5’’ tient bien, le recul est réglable, tout comme la position des lentilles trois paires sont là aussi fournies et le FOV de 100 degrés offre une immersion satisfaisante. Qualité Léger. Compatible avec beaucoup d’appareils. Design original Défauts Montage un peu long. Système de fixation du strap douteuse. Google Cardboard Prix À partir de 3 euros C’est sans doute le dispositif de VR sous Android le plus connu, et pour cause il vient de Google himself. Lancé comme un gadget anodin lors de la conférence I/O 2014, le CardBoard est rapidement devenu une porte d’entrée vers la réalité virtuelle pour beaucoup de monde, essentiellement grâce à son tarif ultra abordable. On peut en effet le trouver, lui ou un de ses nombreux clones, pour quelques euros sur les sites d’import chinois. En pratique, le Google CardBoard a les défauts de ses qualités très facile à assembler, il montre cependant vite ses limites en matière de confort et d’immersion. On note cependant la présence d’un aimant sur le côté, permettant, via l’utilisation d’un Nexus 5, de contrôler l’interface de l’application dédiée. Celle-ci propose différentes expériences YouTube en VR, Google Earth, une visite du château de Versailles… assez réussies. Rapidement, cependant, on a envie de passer la seconde et de tester un casque plus complet et plus confortable. Qualités Très abordable. Immersion efficace. Aimant sur le côté. Facile à assembler Défaut Du carton, encore du carton. On a vite envie de passer au niveau supérieur. Durovis Dive Prix 59 euros Sur de nombreux points, le Durovis Dive ressemble à l’Homido le design est assez similaire, on retrouve le même type de mousse pour le confort du contour des yeux, le système de fixation du smartphone fonctionne plus ou moins de la même manière et le casque est fourni avec plusieurs paires de lentilles adaptées à différents types de vues. Il nous parait cependant un poil moins convaincant, notamment à cause de l’absence d’une bande de fixation au-dessus de la tête très utile pour la stabilité de l’ensemble et d’un système d’attache des lentilles assez mal fichu et pas très fiable. En dehors de ces quelques points noirs, le produit reste de qualité et procure une bonne immersion. Qualités Bonne conception. Confortable à porter. Défauts Manque une bande de soutien au-dessus du crâne. Le système de fixation des lentilles. Dossier rédigé par Michaël Lemoine Pour nous suivre, nous vous invitons à télécharger notre application Android et iOS. Vous pourrez y lire nos articles, dossiers, et regarder nos dernières vidéos YouTube. En1995, Nintendo lance le VR Virtual Boy, un casque de réalité virtuelle monté sur un bipied et vendu avec une manette de jeu. Il s’agit d’une innovation technique importante mais pas suffisante pour convaincre les amateurs de jeu car ce casque doit être installé sur une surface plane en raison de sa lourdeur.5 Nouvelle marotte potentielle de l'industrie de l'image et du divertissement, la réalité virtuelle sur smartphone ne pouvait que tomber dans les mains du secteur pornographique. Si quelques contenus sont déjà disponibles dans une qualité passable, Marc Dorcel, comme au temps de la 3D sur TV, vient y mettre un sérieux coup de rein, avec une offre disponible aujourd'hui dans une qualité rarement vue jusqu'alors. Nous avons pu faire connaissance avec les nouveaux contenus "VR" du pape du porno européen. Voici nos 2010, Marc Dorcel se lance dans la 3D, le mouvement est surtout avant-gardiste et les investissements sont prévus en grande partie à perte près de 2 millions d'euros pour démocratiser rapidement et avec force de contenu une technologie porteuse pour ce type d'industrie. Cinq ans plus tard, la 3D n'a jamais vraiment fait son chemin, aussi bien dans le divertissement traditionnel que dans celui un peu plus coquin. C'est donc tout naturellement que la vidéo pornographique se tourne vers la réalité virtuelle et Dorcel, comme d'habitude, y met les moyens. Il faut dire que la réalité virtuelle a, dans l'absolu, une chance plus importante de s'imposer dans les usages des mobinautes. En effet, à la différence de la 3D et ses TV coûteuses, il suffit maintenant d'utiliser son smartphone habituel et un casque VR, même en carton Google Cardboard ou modèles simples équivalents en plastique, à moins de 50 €, pour accéder à cette technologie — en attendant les casques VR dédiés comme l'Oculus Rift et le HTC Vive début les vidéos plates que l'on peut trouver sur YouTube 360, les montagnes russes en "à peu près 3D" disponibles sur les différents magasins d'applications mobiles et même les quelques contenus de genre osé Jacquie et Michel Immersion notamment, qui porte mal son nom, à date. Ce que propose aujourd'hui Dorcel avec Virtual Reality est un cran au-dessus. Et nous parlons bien de technique ! Nous avons ainsi pu découvrir la nouvelle corde à l'arc dénudé des studios Dorcel. Rendez-vous nous était donné dans un studio, celui-là même ayant servi au tournage des nouveaux contenus VR de la firme et toujours agrémenté des décors et même de certains des protagonistes. Ambiance. La démonstration s'est faite sur des casques de réalité virtuelle Samsung Gear VR avec des Galaxy S6 edge+ engoncés à l'intérieur. Si Dorcel veut nous en mettre plein les yeux, il a choisi le meilleur combo actuel sur la mobilité. Le contenu peut toutefois être lu depuis n'importe quel smartphone Android ou iOS doté d'une application VR et d'un casque idoine, du Google Cardboard évoqué plus haut et ses dérivés, au casque Homido ou même à l'Oculus Rift. Le résultat est saisissant de réalisme et tout à fait très légère profondeur induite par la captation en 3D et l'affichage HD n'y sont pas étrangers. Sur deux testeurs, dont l'un très peu tolérant avec la 3D comme avec la réalité virtuelle, le constat est identique l'expérience est réussie. Reste à voir la différence avec un matériel plus basique et un affichage moins bien défini, car nous y avons goûté dans les meilleures conditions possibles. Nous avons tout de même noté un petit défaut dans le contenu proposé un bras qui disparait puis réapparait subrepticement dans la composition de l'image dans une action se déroulant sur la gauche du point de vue principal. Si nous n'avons pu obtenir le coût de production global de ce contenu VR, nous savons tout de même que les studio Dorcel ont dû débourser une somme 5 fois supérieure à celle allouée d'habitude pour ce genre de saynète. Pour mener à bien son entreprise, le réalisateur a utilisé 14 caméras GoPro et un opérateur spécialisé dans la vidéo immersive, présent sur le plateau. Dorcel ajoute également un soupçon de 3D pour renforcer la profondeur des scènes et véritablement donner corps aux sujets plus que mouvants de la vidéo. La dizaine de minutes que compte la variation "hard" de ce nouveau contenu a demandé en tout et pour tout près d'une journée de travail. La raison, en dehors des conséquences physio-psychologiques avérées pour les acteurs de composer avec un attirail technique atypique, est que par volonté d'obtenir le contenu le plus léché possible, le studio français a tenu à ce que chaque détail soit suffisamment travaillé pour que l'utilisateur final ne ressente pas d'amateurisme. La scène principale, conçue comme un plan-séquence, contient de nombreux réajustements en direct pendant le tournage, de la part des spécialistes de l'image dépêchés pour l'occasion, afin que profondeur et fluidité restent constantes. Pour obtenir ce résultat, Dorcel aura audité pas moins d'une dizaine de prestataires en immersion et 3D avant de trouver le bon compromis, notamment pour éradiquer les effets "Fisheye" et autres anamorphoses. Dorcel VR est d'ores et déjà disponible sur le site dédié du studio. Une scène soft, gratuite, permet déjà de se faire une idée technique pas de changement sur ce point avec la scène hard, pèse déjà près de 800 Mo pour un peu moins de 3 minutes d'aventure assise. La scène hard, proposée au téléchargement à 9,99 €, dure plus de 10 minutes. À peine quelques heures après l'ouverture des vannes, Dorcel compte déjà plus d'une centaine de téléchargements de la version payante. Le porno nouveau est-il en route ?
Exclusifau Rift d'Oculus, Coco est sans doute la meilleure expérience à faire essayer à quelqu'un qui ne connait pas la réalité virtuelle.Consulter Masquer le sommaireFonctionnement d’un casque de réalité virtuelleCritères pour bien choisir un casque de réalité virtuelleL’équipement utiliséLa qualité de l’affichageLa réactivitéDésirez-vous vous plonger dans un univers virtuel pour une expérience immersive ? Si oui, vous aurez besoin d’un casque de réalité virtuelle. Cependant, pour bien vivre cette belle expérience, il est important de savoir utiliser cet appareil. Ainsi, comment fonctionne un casque de réalité virtuelle ? Focus ! Fonctionnement d’un casque de réalité virtuelle Pour vivre les sensations que procure la réalité virtuelle, vous aurez besoin d’un casque. Il est donc important de savoir comment fonctionne un casque de réalité virtuelle. L’utilisation de ce type d’appareil est très simple, même s’il met en œuvre des technologies complexes. En effet, avec la réalité virtuelle, les joueurs ne regardent pas un écran plat situé devant eux. Cette expérience englobe tout le champ de vision à travers le casque. Lorsque vous portez l’appareil, ce dernier projette pour chaque œil une petite image et le cerveau les rassemble à son tour pour les transformer en une vision 3D. De ce fait, les lentilles du casque amplifient l’image afin que les utilisateurs voient les représentations qui remplissent leur champ de vision. Étant donné que le casque est fixé sur la tête du joueur, ces images bougent avec des mouvements de la tête de la personne. Ainsi, le logiciel adapte les dessins en tenant compte de l’angle de vue et de la position de la tête. Ceci vous donne une sensation d’immersion profonde, car vous oubliez rapidement l’écran qui est fixé devant vos yeux. Pour créer une sensation de réalité de l’univers dans lequel vous êtes plongé, le casque de RV doit avoir des performances techniques en matière d’affichage. Il doit afficher 90 images en moyenne par seconde voire 120 contrairement à la télévision qui a une fréquence d’affichage de 30 images par seconde. Plus la vitesse d’affichage est considérable et plus l’utilisateur se sentira immergé dans un univers réel. Critères pour bien choisir un casque de réalité virtuelle Maintenant que vous connaissez le fonctionnement du casque de réalité virtuelle, il est nécessaire de faire le bon choix pour vivre des sensations fortes. Pour ce faire, il faut tenir compte de quelques éléments. L’équipement utilisé La plupart des casques de réalité virtuelle ne sont pas complètement universels. Votre choix doit donc dépendre du type de matériel sur lequel vous désirez l’utiliser. Ainsi, vous trouverez des appareils utilisables avec des PC des smartphones des consoles de jeux certains modèles sont uniquement associés à un type de console. Par ailleurs, sachez que les casques de réalité virtuelle les plus performants sont ceux qui se trouvent dans les équipements pour consoles et pour PC. La qualité de l’affichage Pour une expérience de réalité virtuelle réussie, la qualité de l’affichage est cruciale. Elle dépend de sa définition et du type de dalle d’écran qui est utilisé pour le casque. Les meilleurs produits disponibles sur le marché sont dotés d’écran Oled ou d’écran 4 K UHD. Ces derniers se démarquent par les ambiances nocturnes qu’ils produisent et par leur profondeur de noir. La réactivité Pour afficher une image avec un décalage minimal, un bon casque de RV doit détecter tous les mouvements du joueur de manière fidèle et le plus rapidement possible. En effet, il se crée une sensation d’inconfort et d’irréalité lorsque le décalage est trop important. Les meilleurs casques se situent généralement entre 90 voire 120 Hz. Évitez les produits qui proposent 60 Hz. . 408 410 427 369 250 94 92 371