Cetteétape clé de la grossesse se déroule à partir du 7 ème jour après la fécondation, soit au 21 ou 22 ème jour après les dernières règles, et jusqu’au 10 ème jour de la grossesse. Quelle étape après la nidation ? L’œuf fécondé s’y implante 7 jours après la fécondation. C’est la nidation (7). À ce stade, il s’accroche à un endroit accueillant et finit par
Sissi25/05/2022, 18h34SiJe pense avoir perdu mon frère de cette maladie. C'est moi qui l'ai retrouvé par terre, mort. Tous vos témoignages font écho aux symptômes qu'il avait et dont j'ai été témoin. Comme Milou, je me sens coupable de ne pas avoir réagi. Je l'ai laissé avec une bouillotte et un autotest covid... Je me sens terriblement conne. ça va faire un an et je n'arrive toujours pas à l'accepter. Flo7920/01/2022, 01h21FlBonsoir et oui maladie très sournoise, première idée gastroenterite mais barre de douleurs énorme sous le nombril. Vomissements et diarrhées toute une nuit avec une douleur de plus en plus insupportable. Au petit matin mon mari me conduit aux urgences de l'hôpital me plus proche, ville de 10000 habitants donc petit hôpital. Très vite reçu et nombreux examens dont scan abdominal qui révèle rapidement un infarctus mesenterique. Transfert en urgences sur un chd ou on me dit pronostic vital engagé ils vont opérer mais ne savent pas s'ils vont me sauver. 6 heures plus tard je me réveille en réanimation et oui je suis vivante. Je n'ai eu aucune ablation des intestins. Par contre ensuite complications avec comité intestinale. C'était le 23 mai 2019. Je n'ai pas les séquelles intestinales de beaucoup de personnes mais ma vie n'est plus la même. J'ai déclenché suite à cet infarctus des douleurs dans tous le corps, des insomnies quelques troubles du transit. Diagnostic de fibromyalgie. Mais le plus important maintenant est de profiter au maximum de mes deux adorables petites filles. Et je pense que pour le diagnostic peu importe la grandeur de l'hôpital il faut tomber sur la bonne personne au bon 04h13AlBonjour je sans de petits douleur au ventre de ballonement un peu de fatigue manque un peu d'appétit que faire envu d'aller au toilette 3 4 fois par jour que fairepersonne02/08/2021, 18h32peJe peux dire qu'à deux reprises dans ma vie c'est à moi que je dois d'être encore première fois grossesse extra utérine de 4 mois avec trompe explosée j'ai visité de nombreux gynécologues "non ce n'est rien c'est juste un dérèglement hormonal le test n'a rien suis allée voir un chirurgien gynéco la même chose "non ce n'est rien un dérèglement hormonal ou une endométriose"moi , mais, il faudra ouvrir pour aller voir ? "Oui mais ce n'est pas urgent" Moi, alors vous ouvrez demain j'ai été opérée dans la semaine et transfusée il parait que le sang a giclé lorsque le scalpel a coupé . Si cela n'avait pas été fait je serai sans doute deuxième fois occlusion intestinales coloscopies gastroscopie scanner tout va bien vous n'avez rien sauf que je n'allais pas bien du tout et que je me sentais en urgences une catastrophe je me suis faite rabrouée une vraie maltraitance qui devrait être vais voir un chirurgien je lui dit "ouvrez de grâce il faut allé voir ce qui ne va les 8 jours je rentrai au bloc . Le lendemain je le vois il lève les bras au ciel et me dit vous étiez en occlusion par des liens et adhérences les intestins et l'estomac étaient pris dans un enchevêtrement de tissu perdu toute confiance sans cette profession, et je ne me sens pas rassurée pour l'avenir" ILS NE SONT PAS BONS!"PATATASFRITAS17/07/2021, 16h05PAbonsoir père faisait un infarctus sos c'est déplace 3 fois ils ont prescrit Eferalganmon père est décédé au chu j'ai engage des poursuites contre sos medecinsqui pour moi sont la grande surface de la médecine c'est au conseil que les medecins ont dit cabien sur j'ai mon procès mais c’était long et pas simple car ces gens ce protège bien ensemble une caste mais ont peut les faire tombes la preuvesylvi1220/02/2020, 12h08syMa très chère maman m'a quittée ce 2 janvier 2020 suite à cet infarctus, aux dires de mon médecin traitant. Elle avait tous ces symptômes. Le rapport médical me dit décès suite à une colite aigüe et ils ne m'ont pas envoyés tous les documents pour se protéger, ils se foutent de nous! Ce jour là , pas de défibrillateur dans le service. Le SAMU est arrivé 10 minutes après son arrêt cardiaque. C'est INACCEPTABLE! J'ai entendu de tout de leur part occlusion, AVC et tant d'autres. Je vais porter plainte contre cette pourriture de gastroentérologue pour le faire rayer de l'Ordre des Médecins. Il m'a envoyé "sur les roses" quand je lui demandais d'aller la voir. Tout va bien m'a t'il dit. Faites tous la même chose, rassemblons nous tous, créons un site de plaintes, je ne sais plus quoi dire. Ma maman a tant souffert, nous étions fusionnelles et vivions ensemble depuis 7 ans. Pour elle, je vais me 14h48MaBonjour, ma mère avait de fortes douleurs au ventre, son médecin traitant a dit que c'était une gastro "sèche".Prise de vomissements sans jamais rien vomir et d'atroces douleurs, je décide de l'emmener aux urgences qui disent la même chose et lui disent de venir faire un scanner le lendemain à fois le scanner fait, ils la gardent car c'est une occlusion intestinale, il faut la transférer à l’hôpital ou le chirurgien qui la suit depuis sa 1ère opération exerce, pour l'opérer d'urgence lendemain après lui avoir mis une sonde du nez aux intestins, ils disent que ça va mieux et que l'opération n'aura peut être pas lieu et même si l'opération est nécessaire, elle ne sera pas la nuit elle a eu des douleurs intenables, elle est tombé dans les pommes, les infirmières l'ont descendu pour faire un scanner et ils ont décidé de la transférer. Donc hier elle à été transférer à l’hôpital, elle s est faite opérée et là .. Choc septique, coma artificiel dans un service de 17h54mjJe viens de lire vos témoignages et je suis bouleversée et je pleure car j'ai perdu ma maman d'une colite ischémique secondaire à un infarctus mésentérique en 48h,le 20/06/2019 malheureusement j'étais loin d'elle, c'est mon frère qui s'est occupé de tout et il culpabilise beaucoup car il estime ne pas avoir fait son possible. Sauf, qu'il faut savoir que c'est un infarctus très rare qu'il est la plus part du temps fatal. Même au cours des études de médecine et en infirmerie, il survole ce type de cas car imprévisible et les symptômes sont trompeurs car ils sont les mêmes qu'une gastro entérite, C'est d'ailleurs ce qu'a diagnostiqué un des médecins qui a ausculté ma maman. Seul un des médecins qui l'a ausculté dans une clinique au Portugal a eu le bon diagnostic et l'a transférée en urgence dans un hôpital compétent,ou ils l'ont opéré le lendemain de la crise car il faut que les constantes soient stabilisées pour l'opération qui présente dans ce type de cas des risques importants encore plus si les constantes ne sont pas stables. Mais malheureusement, sachant que l'artère mésentérique est bouchée et n'apporte plus le flux de sang nécessaire à la survie des organes, ces derniers n'ayant plus d’oxygène pour continuer de fonctionner et d'aider le cœur, commencent à nécroser et le mal continue son œuvre. Maman est partie le lendemain à 5h du matin, je sais qu'elle n'a pas souffert car elle a été mise en soins intensif et dans le coma Mais elle a due terriblement être mal le mardi 18/06 quand tout a commencé et j'aurais tant voulu être là pour l'aider même si je sais que l'issue était fatale !!! Je pleure son absence et le manque de sa voix de son odeur, elle m'obsède !!! c'est une fin terrible et brutale qui ne laisse pas le temps de réaliser ce qui se passe ! c'est une maman exceptionnelle comme toute les mamans du monde mais la mienne était la meilleure. La vie est un combat de tous les instants et tout arrive quand on ne s'y attend pas on croit que nos proches sont immortels et que tout est acquis ! Eh bien NON !!! Depuis j'ai peur de ce qui pourrait m'arriver et surtout à mes proches ! c'est très dure et parfois je souhaiterai remonter le temps pour lui dire tout ce que je n'ai pas eu le temps de lui dire et maintenant c'est trop tard !!! Courage à tous et toutes et prenez soins de 14h19StJe pense que quand un médecin vous donne un diagnostic, nous sommes à 99,99% d’accord avec lui. Ok pour prendre soin de notre corps mais ils ont fait 7 ans d'études voire plus donc en toute logique nous avons confiance! Comme je l’ai dit dans un message, mon frère a frôlé la mort à cause de 3 mauvais diagnostics de 3 médecins différents ! Alors qu’il avait une crise d’appendicite, elle a évolué en une péritonite et le chirurgien nous a dit qu’à quelques heures près il allait mourir.....Ça laisse à réfléchir quant à la connaissance des médecins consultés ! 14h12StToutes mes condoléances Monsieur ! Il est arrivé quasiment la même chose à mon frère avec une fin heureuse mais les médecins 3 différents ont pensé à une gastro-entérite ! Grâce à sa femme qui l’a emmené en pleine nuit aux urgences car mon frère souffrait énormément , il est passé à côté d’une mort certaine dans les heures à venir et le serait si ma belle-sœur n’avait pas insisté pour le conduire aux urgences! Le chirurgien nous a dit qu’elle avait sauvé notre frère car quand il a ouvert il y avait du pu de partout ! Je ne rends pas grâce aux 3 différents médecins qui auraient pu avoir laissé mon frère mourir et d’ailleurs le chirurgien nous a vivement recommandé de dénoncer ces médecins à l’ordre des médecins et de porter 08h50niUn ami chirurgien de l'appareil digestif vient lui-même de décéder de cet infarctus sans vouloir aller tout de suite à l'hôpital où il était chirurgien...BLANCHE04/05/2019, 07h08BLJ'ai lu vos témoignages et je m'aperçois que l'erreur de diagnostics peut-être fatale. Le problème ça ressemble a une gastro ou intoxication alimentaire... Ma fille de 19 ans est décédée chez elle en l'espace de 24h. Pourtant, elle avait fait le 15 la veille...croyant a une intoxication alimentaire, ça va passer lui a t on dit... elle a fait un arrêt cardiaque et lorsqu'ils ont ouvert, il y avait 5 mètres d'intestin nécrosé. Un mois avant, elle avait eu les mêmes symptômes et c'était rendu aux urgences mais rien diagnostiqué. Je pense que c est une maladie méconnue et tellement brutale que l'on peut confondre avec des choses bénignes. Faire un diagnostic en urgence n'est pas toujours simple mais des signes avant coureurs peuvent peut être pousser à faire des examens plus approfondies tout dépendra du médecin...Geny Vince 13/03/2019, 03h19GeRéponse à Milou dont le témoignage me donne une immense tristesse et à qui je voudrais dire de ne pas culpabiliser parce que c'est votre époux qui n'a pas voulu y aller tout comme papa qui est parti de cette façon dans le bras de maman au fin fond d'un petit village. La personne malade a son libre arbitre et l'on n'a pas le droit de forcer ou obliger. C'est vrai, c'est une immense culpabilité infondée qui nous ronge la même chose m'est arrivé mais je n'en parlerai pas et je culpabilise encore! 3 ans que je demande pardon de n'avoir pas bougé avant mais à quoi bon? Cela ne fait pas revenir l'être concerné et nous fait souffrir terriblement presque au point d'en partir de vous lisant, j'ai pris conscience que c'est inutile et vais essayer de travailler cela pour au moins pleurer un minimum et non un maximum. Merci à vous, 10h42PiSuite à des crampes abdominales intenses, à des douleurs intempestives sur le bas du ventre, à une impossibilité de marcher sur mon lieu de travail, un collègue a aussitôt appeler le SAMU, où le médecin a mis près d'une trentaine de minutes avant de un nom et un prénom d'origine ibérique, sans faire moi-même d'allusions à toutes connotations raciales, le médecin s'est permis de dire si je parlais au moins le eu la force de lui rétorquer que je maitrisais cinq langues plus, il s'est un peu "trompé" sur le diagnostic, en diagnostiquant une j'ai fait une occlusion que je peux reprocher à ce médecin est sa maladresse, son manque de tact, de correction et d' lieu de mettre à l'aise et d'apaiser les souffrances d'une personne malade, il a décidément fait le ailleurs, ce manque de réactivité, concernant sa lenteur à répondre et à questionner le malade avec un langage inapproprié peut avoir de très lourdes guise de conclusion, je trouve cela inacceptable, voire 22h52RéDepuis ma ménopause 54 ans, soit huit ans, je ne vais plus jamais à la selle. Maux de ventre aigus, extrême fatigue, envie d’en dans tout mon corps, j’ai du mal à bouger. Et pourtant, à ce jour, aucune pathologie grave n’a été diagnostiquée. Angoisse extrême, insomnies, 17h01chBonjour,Je viens moi même d'être opéré en urgence d'une ischémie de l' au ventre affreux à ne plus savoir quoi faire de moi. Mon médecin traitant étant absent, j'ai appelé le 15 qui n'a pas voulu se déplacer, j'ai appelé les médecins des communes voisines que ne pouvaient pas me recevoir non plus. Ma belle-sœur est arrivée entre temps et a rappelé le 15 qui l'a renvoyé balader, je dis merci les spécialistes de l'urgence. C'est mon frère qui m'a emmené aux urgences et j'ai été opéré dans la soirée en urgence 03/02/2018, 23h41SaNotre père est décédé le 13 janvier 2018, suite à une ascite que je connaissais pas du tout. Il avait auparavant souffert de diarrhée répétées, depuis plus d'un an, ensuite quand enfin il a fini par accepter qu'il fallait se faire soigner, le 16decembre, son médecin n'a même pas été capable de faire un bon diagnostique ou de demander une echo abdominale, seulement du Flazol pendant 7jrs et quand il commençait à prendre du volume au niveau du ventre il refusait d'aller consulter et il en est mort il avait 82 06h47flDégoûtée. Je n'ai pas de mots. Toutes mes condoléances et surtout courage ! La vie c’est de la merde mais elle vaut la peine d'être vécue. 13h48maLes médecins SOS et les généralistes ont failli me conduire au cimetière aussi. Vraiment triste pour vous et votre femme. Heureusement un gastro m'a fait filer au scanner, j'ai dû rester et j'ai été sauvée grâce aux urgences. C'est encombrant pour eux mais dorénavant je file aux urgences quand j'ai un gros souci digestif... Chacun son job et pas envie de mourir à cause d'un incapable, ou négligeant. Un médecin de boulot m'avait auscultée debout sur un bout de table et avait diagnostiqué une grossesse avec douleurs épigastriques. Championne, la grosse !gébé11/04/2017, 22h47géJe réponds à Fabien. Je commence par lui demander de m'excuser car je n'ai pu le faire plus tôt. Bien sûr je lui conseille de consulter rapidement d'autres médecins, et de faire part de ses craintes. En effet, les multiples témoignages qui sont parvenus sur ce forum confirment que les médecins passent trop souvent à côté du mes voeux de 22h10FaBonjour, je viens à vous j'espère que vous saaurez m'aider. On m'a découvert une pince mésentérique qui se prénomme aussi casse noisette. On me l'a diagnostiquée mercredi passée mais avant cela j'ai de fortes douleurs après manger, boire et je fais de gros rots, j'ai des crampes type une barre en-dessous de l'estomac qui me fait énormément mal. Le vendredi qui suit j'ai dû me faire opérer de deux hernies inguinales, ce qui était s'est bien passée mais depuis, avec tous les antidouleurs, anti-inflammatoires et antibiotiques, vu que j'ai fait une infection urinaire, j'ai très mal au ventre. Le cardiologue a conseillé de le revoir dans 1 mois et demi pour éventuellement envisager une pose de stent à l'artère. Qu'en pensez-vous ? Dois-je attendre ou dois-je me rendre chez un autre médecin ?Maman déboussolée 13/11/2016, 10h30MaBonjour à tous, mon fils de 13 mois est décédé. Il a eu comme symptômes- vomissements vers 13h00 son médecin traitant nous à dit que c'était sans doute une lendemain matin, son ventre à commencé à gonfler et durcir. Arrivé au urgence on constate qu'une masse commencer à l'étouffer. Donc ont m'annonce que la seule solution c'est de faire une opération immédiatement pour voir quel type de blocage il à dans son petit corps. Après 3 heures d'attente, on m'annonce qu'ils ont dû enlever une partie de son estomac, que son intestin était troué. Ses organes ont été endommagés par le manque d'oxygène, l'opération a été longue et lourde et que son cas était critique. Les médecins supposent que son intestin ou estomac s'est retourné...Après 72 heures dans le service de réanimation, le médecin annonce son décès en disant qu'il y a eu une mort 14h57isBonjour, mon papa a son artère mésentérique complètement bouchée et les chirurgiens ne savent plus rien faire pour lui. Nous souhaiterions que ses souffrances diminuent car elles sont invivables pour lui et pour nous. Nous cherchons un traitement et malgré les nombreux anti-douleurs jusqu’à la morphine, rien ne n'y fait. Auriez-vous un quelconque avis sur le sujet ?En vous remerciant d' 15h16StMon beau-père nous a quitté le 31/12/2014 à cause de cette maladie. Cela faisait 3 semaines qu'il avait des signes avant coureurs. Perte d'appétit, pâleur... Des examens ont été fait peut-être pas les bons !. La veille de son opération un dimanche, les médecins ont même pensé à une appendicite ! Le lundi, il ont diagnostiqué l'infarctus mésentérique et l'ont opéré. Ils ont enlevé 80cm d'intestin. Le mardi, son état s'est dégradé et il nous a quitté le mercredi à 5h30. Beaucoup de questions restent sans réponses. 3 semaines de signes avant-coureurs et les médecins n'ont rien fait ! Nous sommes tristes et en 11h54daMon époux est décédé en moins de 12 heures. Il se trouvait à l'hôpital pour une autre pathologie, cela n'a pas empêché son décès malgré la rapidité de l'intervention du chirurgien qui s'est déplacé un 21h13KiMon frère est décédé à cause de cette maladie découverte trop tard. C'est quand il l'on ouvert que tout était nécrosé donc plus d'espoir de guérison. C'est dommage qu'on ne le voie pas assez tôt, il serait peut-être encore en vie aujoud' 12h11thBonjour, Lilou, tout d’abord bon courage à vous et surtout à votre père. Apparemment, votre père à été pris en charge rapidement, moi non plus je ne pouvais pas manger ni boire, je suis resté intubé pendant plus d'une semaine, j'avais une sonde naso aussi, par contre seulement 1 mètre d'intestin enlevé. Il faut beaucoup de patience, je pense qu'un autre chirurgien pourra vous conseiller davantage, car il est important de savoir ce qu'il en est lors d'une aussi importante opération. Bon 20h56liBonjour, mon père de 68 ans vient de faire un infarctus mésentérique dimanche matin. Aucun signe avant coureur, samedi soir repas en famille, tout allait bien. Dans la nuit il a été réveillé par de grosses douleurs abdominales avec difficulté à marcher et un ventre gonflé comme une femme enceinte de 9 mois. Direct aux urgences, prise en charge immédiate et directe au bloc. Résultat ablation totale du colon. Nous sommes allés le voir aujourd'hui, il ne peut ni manger ni boire. Il a une iléostomie et une sonde nasogastrique. Pour l'instant, nous n'en savons pas plus et nous espérons qu'il est hors de danger mais le chirurgien qui l'a opéré est parti en vacances, donc nous n'en savons pas 19h11flRéponse j'ai vu 3 docteurs pour mes douleurs aux jambes, en plus j'ai pris 20 kg en même pas deux mois. Je faisais un oedème mais je ne le savais pas. J'allais au travail avec des douleurs atroces aux jambes. Au bout de quelque semaines j'ai dû m'arrêter ne pouvant plus marcher. On m'a accompagner chez des docteurs qui m'ont donné des anti inflammatoires. Jusqu'au jour où plus de douleurs aux jambes et au bout de quelques jours, boum !!!!!Me voila pliée en deux avec des nausées, je me souvenais plus des sueurs, des selles atroces, appel d'urgence pompiers quine se sont pas déplacés. Mon frère m'a amenée 1 fois à l'hôpital pour me dire que j'ai fait une intoxication alimentaire. Retour à la maison, toujours pareil, partie à la clinique à côté de chez moi pour faire une écho avec toujours ces douleurs horrible,s pire que les contractions, avec vomissements, mais plus rien dans l'estomac, je vomissais de la bile. Les échographies n'ont rien donné, retour maison et là impossible de vous dire la douleurs intérieure, j'avais l impression que tout se brûlait. Retour à l' hôpital le 15 août je me souviens. Cela faisait au moins 1 jour que cela avait commencé. On m'a admise enfin !!!! J' étais soulagée. On me met dans une chambre, plus de douleurs mais des nausées à en vomir. L'infirmière me dit de rester couchée, mais moi je sentais que quelque chose se passait, j'ai dit à ma mère qui était avec moi que ça n'allait pas. Je me suis levée et j'ai vomi toute la m... qui était en moi, désolée de la vulgarité mais c'était ça, le mur était opération en urgence, ma mère m'a raconté, tout le monde courait dans le couloir, scanner rien donné, 1 opération on ne voit rien, 2 tentatives mon coeur s'arrête, un médecin raconte tout à mes proches, il leur dit d'être fort car mon coeur s'est arrêté, que j'étais vraiment abimée et fatiguée et qu'il me donner 48 coeur est reparti avec l aide des appareils, je me suis réveillée 4 jours après avec tout le matériel respiratoire et cardiaque. J'ai repris mon travail au bout de 9 mois d'arrêt mais je pense à ça dès que j'ai mal aux jambes, ça veut dire tous les jours. Voila mon témoignage, ça ma fait beaucoup de 18h10thBonjour Flo, vous êtes comme moi passée par une belle porte, comme on dit. Moi j'aurais fait cet infarctus mésentérique à cause de la pilule. On reste avec des séquelles, enfin moi oui, et toujours avec cet hantise que cela revienne. Je suis sous PREVISCAN afin d'éviter le risque, mais il faut vivre avec. Et pour ma part, j'ai beaucoup de mal, je suis en invalidité 1ère catégorie dû aux séquelles au niveau intestinal. J'ai arrêté de travailler, je bossais dans le médical et je n'arrivais pas à surmonter la hantise. Et surtout j'ai changé de vie, j'en profite un 18h03flBonjour j ai fait un infarctus mésentérique à l'âge de 38 ans en 2003. Suite à une phlébite à chaque jambe, j'ai vu trois médecins qui n'ont rien détecté Suite à cela, maux de ventre, vomissements, selles très noires avec une odeur très forte. Je me suis retrouvé à l'hôpital et là , occlusion intestinale et évanouissement, opération en deux fois, presque deux mètres à retirer, 10 jours de soins intensifs, sortie au bout d un mois de l'hôpital. 9 mois d'arrêt maladie. Le chirurgien ne voulait pas se prononcer avant 48 faut faire souvent des dopplers pour éviter une rechute qui serait je pense 23h29MaRÉPONSE A THYNEJ'ai posé beaucoup de questions vers l'orientation en rhumatologie concernant mon époux. J'ai même fait intervenir mon médecin traitant qui était aussi celui de mon mari mais rien n'y a fait ils ont décidé que c'était le bon service leur réponse était il faut commencer par quelque chose après on verra,il y a une infection quelque part il faut chercher d'où cela quand la catastrophe est arrivée j'ai écrit à l'hôpital pour savoir pourquoi ils ne m'ont pas écouté. Je voulais une réponse à mes questions mais ils ont classé le dossier me répondant que mon mari avait était bien pris en charge et qu'il n'y avait aucune erreur de leur part. Je connaissais déjà la réponse avant de recevoir le courrier c'était le pot de terre contre le pot de fer. Si j'avais de l'argent je vous assure que je n'aurais pas baissée les bras je les auraient mis en justice mais je ne suis pas riche je suis de classe ouvrière, en tout les cas je vous remercie de votre message de réconfort ainsi que la personne qui comprend ma détresse et qui m'a répondu. Bien cordialement à toutes les deux, encore merci de votre soutien et moi même vous souhaite bon couragethyne16/10/2014, 14h17thMarie-Françoise, comme je comprends votre incompréhension quand à l'hospitalisation de votre mari en rhumatologie au lieu du bon service. Je ne comprends pas pourquoi d'ailleurs personne en rhumatologie n'a vu qu'il ne s'agissait pas du bon service. Je suis passée par là , avec une issue favorable pour moi, mais avec tout ses choses que disent les chirurgiens et autres, la phrase qui me reste gravé est bien entendu, on va vous opérer mais votre pronostic vital est très engagé car on en sais ce que l'on va trouvé en ouvrant, donc vous vous ne vous réveillerez peut être pas....Apres une nuit sous morphine, c'est la chirurgienne même qui s'est déplacée dans ma chambre et qui m'a conduite en salle d'opération, en courant. Je l'a remercie car sans elle je pense que je ne serais plus de ce monde. Je vous souhaite plein de courage pour cette douloureuse épreuve, car les proches ne se remette jamais car les personnes ont toujours l'impression de ne pas avoir tout fait pour les sauver. Personnellement, j'aurais essayer d'en savoir plus au niveau de la première hospitalisation afin de savoir pourquoi il a été mis en service de rhumatologie..mado13/10/2014, 11h41maBonjour Marie Françoise, je sais qu'il est très dur de perdre son compagnon mais je crains que votre mari était déjà perdu quand il est arrivé à l'hôpital la deuxième fois. Il aurait déjà dû pousser des recherches lors de sa première hospitalisation ce qui n'a pas été fait. Peut-être était-il déjà trop tard, vous n'auriez pas toute cette amertume envers les médecins.. J'ai perdu ma mère d'un infarctus mésentérique sur une heure de de ne pas vivre avec de l'amertume, votre chagrin va être décuplé, pensez à toutes ces années de bonheur que vous avez eu avec lui. J'ai perdu mon mari en cinq mois. Je sais que la solitude, le décès de l'autre est difficile à supporter. Ayez du courage, votre mari n'aimerait pas vous voir pleurer. Séchez vos larmes et pensez à tout ce que vous avez entrepris pendant toutes ces années de 11h09MaMon mari fut hospitalisé un 16 avril 2012 pour une diarrhée aux urgences en rhumatologie. Je leur ais expliqué que mon mari n'est pas là pour être suivi pour ses rhumatismes. Le docteur des urgences n'en a fait qu'à sa tête, bien sûr je ne suis qu'une épouse de patient. Malgré ma protestation et celle de son médecin traitant, il se retrouve donc en rhumatologie ou soit-disant plus de diarrhée. Quelques jours passent, on remet quelques poches de sang et mon mari commence à vomir. On lui donne du primpéran pour le soulager, cela dure un certain temps, il souffre toujours, on ne l'écoute pas. C'est une personne qui prend beaucoup de temps à ces dames de services qui rechignent à sa demande de bassin ou autre. Par exemple pour sa toilette il était incapable de la faire seul, il était trop faible et pourtant il ne se plaignait jamais, on aurait dit qu'il avait peur de certaines personnes. Il a eu plusieurs problème en plus, des esquarres qui s'ajoutaient à sa déshydratation. Mon mari a fini par sortir de l'hôpital un samedi après-midi, c'était le 29 Avril 2012, pas très en forme. Il se coucha à 19h très fatigué, content d'être rentré chez lui et moi aussi bien sûr. Le dimanche il refusa de se lever et mangea très peu, le lundi fut la même chose il était très fatigué et resta couché la journée. Le mardi il se leva pour aller aux toilettes il n'a pas su se lever seul du wc, il m' appela pour l'aider à se lever, il s'était vidé de selles noires, il ne voulait pas que j'appelle le médecin de service car c'était le 1er mai, je refusais de l'écouter et j'appelais le samu qui arriva vite. Ils ont travaillé sur lui durant presque 1 heure puis l'on transporté à l'hôpital où l'on m'apprend quelques heures plus tard que son pronostic vital est engagé. J'en suis encore toute étourdie, je n'entend plus rien je me sens vide et me demande ce qui lui arrive. Là on décide de l'envoyer dans un autre centre hospitalier parce qu'il n'y a pas de place pour mon mari en réanimation. On le dirige donc sur la Belgique où là -bas il sera pris en charge. Le médecin vient me voir et me dit que mon mari est très très mal, qu'il est dialysé et intubé, qu'il ne faut pas que cela m'effraye car il a des tuyaux partout en plus des perfusions. Ce fut un cauchemar de le trouver dans cet état parce que la veille il me parlait encore. Le personnel médical travailla toute la nuit sur mon époux pour faire remonter sa tension qui n'était pas très haute à son arrivée, il décidèrent de lui faire un scanner malgré sa dialyse et quand il découvrirent une masse inquiétante, ils décidèrent de l'opérer dans la journée en urgence. Bien sûr le médecin nous expliqua qu'il y avait une chance sur deux que mon mari pouvait mourir sur la table d'opération, que de tout façon il n'avait pas le choix. Quand mon mari a été opéré, ils sont découvert un intestin nécrosé de l'estomac à l'anus. Mon mari ne se réveillera jamais de cette intervention, il décéda pendant celle-ci. J'ai réclamé à l'hôpital où il a été pris en charge, ils ont classé le dossier disant que tout avait été fait dans les règles. Enfin nous ne pouvons pas combattre ces personnes surprotégés, nous ne sommes que des numéros dans cet hôpital de m.... Aujourd'hui, je suis seule et j'ai perdu ce que j'avais de plus chère auprès de moi. Je l'aimais tellement que je le pleure encore tous les jours. Pour moi c'est une catastrophe que ces personnes ne vous écoutent pas .thyne18/05/2014, 18h09thBonjour, mimidu22, je comprends votre incompréhension concernant le décès de votre mère suite à un infarctus mésentérique. J'ai failli mourir de cette maladie. On m'a annoncé morte et ils ont tenté l'opération et grâce à une bonne réaction de la chirurgienne je suis là avec des séquelles mais là . Les symptômes je dirais qu'ils sont très délicats à définir. Pour ma part, j'étais fébrile deux semaines avant, mais hospitalisé pour mauvaise prise de sang. Ils n'ont rien détecté, ils ont recherché une embolie pulmonaire, alors donc sortie et rien d'autre. Je restais quand même fébrile avec essoufflement. Puis dans la nuit, j'ai été très malade, très mal au ventre. Etant dans le médical j'ai pris des médicaments, mais vomissements, puis selles sanglantes. Dans l'urgence j'appelle un médecin de garde et direction Urgences. Et après plusieurs heures d'attente, une chirurgienne vient me voir et m'annonce clairement que je vais mourir car c'est très grave et ils ne savent pas s'ils vont m'opérer. Donc mise sous morphine et dans ce cas je peux vous dire que je ne réagissez plus. Lorsque l'on m a dit que j allais mourir, j'ai répondu ok d accord. Puis s'en est suivi les suites voir récit plus bas.mimidu2217/05/2014, 18h51miCela fait 2 semaines aujourd'hui que j'ai perdu ma mère, tout allait bien, mais au matin douleur de ventre. Réussi à l'emmener aux urgences en fin de journée. Diagnostic infarctus mésentérique, décision opération qui ne sera pas réalisée car trop tard, plus rien à faire. Sous morphine pour calmer la douleur. Suite au coup de fil du médecin à du matin, départ au petit matin car ce n'est pas certain que l'on arrive à temps avant qu'elle parte. Longue agonie à se demander que faire pour la soulager, n'a pas réalisé que j'étais là , elle nous a quitté à Après, ces éternelles questions c'est quoi exactement ? quels symptômes ? On nous répond que c'est très rare mais fatal, pas de remèdes miracles, aucun symptôme à part les maux de ventre, mais elle avait eu une gastro 3 semaines auparavant. Maintenant était-ce vraiment la gastro ou déjà il aurait fallu faire des examens plus appronfondis ? Maintenant je me poserai la question à deux fois avant d'en conclure que ce n'est qu'une simple à tous ceux qui ont perdu un être cher, et à ceux qui pourraient avoir des symptômes identiques. Dites-vous bien que toute question ne sera plus sotte à la suite de cette 14h05thMerci, Marie pour votre témoignage, j'espère de tout cœur que votre maman aille mieux cela sera long c'est sur, mais le plus important c'est la prise en charge le plus rapide, et après un repos surtout à l'âge de votre maman. Moi j'ai 47 ans, cela fera au mois de juillet trois ans que j'ai fait cet infarctus mésentérique et j'en garde encore des séquelles surtout au niveau intestinal, depuis l'ablation d'un mètre qui était nécrosé. Ils m'avaient annoncé aussi que j'aurais peut-être une poche et je peux vous dire que lorsqu'ils m'ont dit cela, je leur ai répondu oui je m'en "fous" du moment que je n'ai plus mal et que je vive, tellement je souffrais...Bon courage à vous et votre famille..mado06/05/2014, 11h02maMerci Marie pour le témoignage, je suis bien heureuse que votre maman s'en soit sortie. Bonne 08h56maJe présente le cas de maman âgée de 78 ans hier. La veille je suis appelée par mon papa qui me dit que maman n'est pas bien, elle vomit, elle a mal au ventre, elle est pâle et a des vertiges = 8 heures du matin. Les symptômes sont apparus à 6 heures du matin après avoir bu son café qu'elle a rejeté. Il avait constaté à son réveil sa pâleur extrême. Je lui conseille d'appeler le SAMU mail il attend mon arrivée. Je constate la pâleur, les vomissement et la diarrhée et les vertiges, la fièvre est à 36. Elle me dit être constipée depuis la veille surprise et avoir pris un laxatif ! et pense avoir une gastro car elle a mangé des calamars la veille qui n'étaient peut être pas frais. J'appelle le 15 et explique les symptômes au médecin, qui me conseille d'aller à la pharmacie acheter un anti vomitif et de rappeler si besoin. Je file à la pharmacie du quartier pour voir la pharmacie de garde mais je cherche le numéro de SOS médecins, explique les symptômes. On me conseille de recueillir les urines et que le médecin arrive à 9 heures 15. Tout s'accèlère, les saignements, la paleur et les urines "rouges" sang" me font présager la gravité. Je remercie le médecin de SOS médecins qui l'a fait partir aux urgences immédiatement en ambulance. Elle subit tous les examens de sang d'urines un scanner qui confirme l'infarctus du colon. Le chirurgien et l'anesthésiste sont appelé en urgence, il est 17 heures un dimanche et l'opération est démarrée à 19 heures. On nous prévient que le pronostic vital est engagé. Les deux tiers du colon gauche sont enlevés et une partie de l'intestin grêle. Si vous n'intervenez pas assez tôt et que l'intestin grêle est entièrement touché, c'est la fin. Le chirurgien a laissé apparent l'extrémité du colon avec une poche pour pouvoir constater s'i est sain sans être obligé de réintervenir en est habituée aux douleurs mails là elle dit souffrir et râler et s'en excuse. On ne peut pas dans les pathologies digestive soulager les douleurs avec de la morphine à cause des embolies. Elle souffre beaucoup à la mobilisation car c'est nouveau il ne faut pas rester dans son lit mais se lever et rester "au fauteuil au moins dix heures par jour" des le lendemain de l'intervention. Elle a souffert aussi hier soir car on lui a fait du clapping lendemain de l'intervention . Elle est courageuse pour endurer ces douleurs et ses soins jugés dégradant changement de poche - toilette d'une vielle dame par un jeune infirmier ? La survie n'est encore pas certaine. C'est très dur pour elle et pour l'entourage de la voir souffrir et d'être dans cet état si subitement. Nous avons eu de la chance dans notre cas d'avoir un bon diagnostic de SOS médecins et par le service des urgences. J'ai rappelé le SAMU pour les "remercier pour le Vogalib"! Si je m'en étais tenu là maman ne serait plus là !Mado17/12/2013, 20h29MaMerci à Thyne de m'avoir répondu, je sais que les médecins ne peuvent pas faire de miracles, mais si ce médecin était passé à côté, vous ne seriez plus là . Je sais que ma mère avait 88 ans, son médecin n'a pas daigné se déranger. Le temps d'appeler une ambulance puis le SMUR, ma mère a fait un arrêt cardiaque dans l'ambulance vu son âge et elle était complètement déshydratée. Elle est décédée dans la dignité sans souffrance. Merçi 13h03thRéponse à Mado. Oui j'ai survécu, et non je ne vis plus pareil, surtout lorsque l'on vous dit, qu'on ne peut rien faire pour vous et que l'on va vous ouvrir et voir à l'intérieur comment cela est, mais que vous ne vous réveillerez certainement pas. Je ne dirai pas que les médecins sont des incapables, juste que c'est une maladie sournoise et tellement rare que ce n'est pas à cela qu'ils pensent en priorité. C'est toujours le diagnostic de la gastro auquel ils pensent, sauf que la douleur pour ma part était tellement forte, et étant secrétaire médicale, je sais reconnaître une gastro d'autre chose. J'ai donc insisté et je suis heureusement tombée sur une chirurgienne qui malgré son diagnostic était très qualifiée, car elle m'a sauvée la vie. D'autant que j'étais allé aux urgences deux jours avant et qu'ils n'avaient rien vu. Je sais que rien de ce que je dirai ne suffira à vous faire oublier votre souffrance. Mais d'en parler fait parfois du bien. Courage à vous. mado15/12/2013, 22h13maMa mère vient de décéder à 88 ans. Elle a vécu toutes ces années en faisant toujours attention à son alimentation, son mode de vie, alors dire que l'on est responsable à 100%, ce n'est pas vrai. Le médecin l'avait examiné 48 heures auparavant gastro. Si les médecins ne sont pas capables de discerner, qu'ils changent de métier. Je ne souhaite pas que ça vous arrive un jour et si vous vous en sortez, réagirez-vous autrement ?thyne15/12/2013, 14h09thBonjour, je réponds à Michounette, je suis comme toi, une personne qui a survécu à cet infarctus mésentérique. Oui c'est une douleur tellement violente que dans notre tête, on se dit c'est la fin, surtout quand les personnes qui vous accueillent aux urgences vous disent "on va vous opérer, mais c'est pas sûr que vous vous réveillerez"... Mais je suis là , cela fait maintenant 1 an et demi, et mon médecin dit que normalement cela ne reviendrait pas. Et pour plus de précautions, je suis sous anti-coagulant et je ne prends plus cette pilule diane 35. Ma vie a aussi changé, déjà dû a l'ablation d'une partie de l'intestin et de gros soucis qui en découlent. Mais quand j'entends des personnes qui disent que des proches sont décédés à cause d'une mauvaise prise en charge du début, cela me révolte. Pourquoi cette maladie, certes rare, n'est pas prise en compte des les premiers symptômes ?? michounette13/12/2013, 19h18miBonsoir à tous, je viens de lire vos témoignages et cela me fait pleurer, car je vois que je l'ai échappée belle ! Effectivement le 29 novembre à 13H30, j'ai ressenti une violente douleur dans le ventre et en même temps j'étais au bord de l'évanouissement avec la nausée. J'ai réussi à me lever de ma chaise et aller au lit en prenant la bassine au passage. Je me suis mise à transpirer énormément et la douleur était à son comble. Je na pouvais même pas appeler mon mari, tellement je n'avais plus de forces en à peine 10 minutes !! Puis je me suis relevée et entre 2 spasmes j'ai réussi à appeler mon mari qui est arrivé immédiatement et je le voyais au pied du lit complétement désemparé. Comme je suis malade coeliaque, je croyais que je faisais encore une crise, mais je la trouvais très forte quand même. 20 minutes après les symptômes, j'ai vomi, puis je suis allée aux toilettes. Ensuite j'ai eu très très froid, j'avais 34°2 de température, je croyais que le thermomètre ne fonctionnait plus, un peu plus tard j'avais 34°4. Mon mari a appelé le médecin, la secrétaire a dit de venir à 17 h20 car le médecin son mari ne faisait plus de visites ! il était 15 h. Je suis retournée aux toilettes par deux fois et l'odeur était bizarre, fétide c'est le mot, puis liquide. J'ai regardé et j'ai vu du sang, que j'ai fait constaté à mon mari parce que je n'étais pas sûre. Il m'a emmené chez le médecin et j'ai averti la secrétaire que j'avais des selles de sang. Quand son mari est arrivé, elle le lui a dit. Mais je suis passée à mon tour, mais après il a été extrêmement efficace, il m'a ausculté le ventre et a trouvé quelque chose de pas normal, puis il m'a fait un toucher rectal et son gant était plein de sang. il m'a dit de me revêtir et a appelé les urgences. J'y suis arrivée à 18 h 30 avec une lettre du médecin. Par contre là , c'était catastrophique, car j'avais horriblement mal et j'étais installée sur un lit où j'ai attendu jusqu'à 23 h que l'on s'occupe de moi ! De plus, une douleur dans les reins est survenue en cours de route, je me suis donc levée au bout de 2h pour aller aux toilettes et j'ai uriné du sang. Je ne comprenais plus rien, j'étais comme semi consciente en me disant que les deux côtés n'avaient rien en commun . Quand je suis revenue , j'ai interpelé une personne du service à qui j'ai dit que j'urinais du sang, il m'a répondu "c'est devant ou derrière car il faudrait savoir ! Vous êtes venue pour des selles sanglantes pas des urines !" Je n'ai pas insisté car je n'avais pas la force. J'ai demandé de l'eau, je n'ai rien vu venir !! Enfin vers 22h, on m'emmène dans un boxe où l'on me demande de me déshabiller et on m'enfile une chemise d'hôpital. Puis j'ai dû attendre la disponibilité du médecin de service à 23 h. Après on s'est occupé de moi. Je n'avais pas 36° de température, une tension à 7, un battement de cœur très ralenti. Ils ont constaté que j'urinais du sang également. Puis je suis arrivée au service de gastro à 1 h du matin. On m'a bourré d'anti-douleurs. J'ai vu la spécialiste gastro qui a détecté une ischémie immédiatement. Je suis restée 7 jours, j'ai vu le cardiologue. et on me faisait des piqûres dans les cuisses tous les jours. Je suis sortie le 5 décembre. Je suis toujours très faible, mais cela va mieux. J'ai vu mon généraliste hier et il m'a dit que cela pouvait revenir et j'ai eu peur, car je ne sais pas si j'arriverai à tenir une telle douleur. Pour l'instant, je n'ai plus de pour ceux qui ont perdu un être cher, je vous entends, je vous perçois, mais dites-vous que la douleur est d'une telle violence que l'on ne peut pas forcément résister et qu'en plus le corps réagit très vite et se dégrade très rapidement. J'ai 56 ans, je suis "habituée" malheureusement à la douleur et j'ai pu "encaisser " celle-là , mais la prochaine ??? C'est vrai que j'ai entendu le mot gasto-entérite mais comme ma tension était au plus bas, ils n'ont pas persisté dans cette voie. Je vous souhaite à tous plein de courage, c'est vrai que cette maladie n'est ni courante ni connue, et que les médecins ne sont pas tous au top ni réactifs. C'est peut-être à nous de les faire réagir car je ne suis pas la seule survivante !! Je suis là , vous pouvez me parler, je vous répondrai comme je peux. C'est plus que du courage qu'il vous faut mais de la volonté pour vous en sortir pour que cela ne se reproduise plus. Je vous prends tous tendrement dans mes bras .chevalier1007/10/2013, 10h15chBonjour, je réponds à Nadia dont je partage la douleur. Nous ne témoignons pas tous sur ce site mais je ne comprends pas ce que fait ou ne fait pas le ministère de la santé pour faire faire des stages et des formations aux médecins à ce sujet. Si nous avions déposé des plaintes pour faute médicale, nous aurions peut-être fait bouger les choses ! Nous ne l'avons pas fait, trop accablés par notre désarroi. Pour nous et ceux que nous avons aimés, il est trop tard mais d'autres personnes seront sans doute, et encore, victimes de telles erreurs...Ne peut-on rien faire ? Y a-t-il des statistiques sur ce sujet ?thyne06/10/2013, 21h25thNadia ! oui je sais combien cela doit être dur pour vous et la famille. Mais tu parles de déboucher les artères si elle avait survécu, elle est décédée d'un infarctus de quoi ?? Mais je confirme que malheureusement il n'est pas possible de faire la différence entre gastro et infarctus mésentérique. Mes symptômes ont été les mêmes mais en plus violents. Maintenant, avec le recul, je recherche ce que j'ai pu avoir avant comme symptômes. J'étais pas bien dans la semaine qui précédait, mais sans plers. Pour avoir fait des recherches on ne peut malheureusement pas diagnostiqué l'infarctus de suite. Courage à 17h51NaBonjour à tous. Cela va faire deux semaines, j'ai perdu ma grand-mère dans à peu près les mêmes conditions. Apparemment, le soir, elle avait des maux de tête et le matin elle a commencé a avoir des maux de ventre ainsi que des vomissements. Et aussi elle avait des douleurs au dos et n'arrivait plus à s'allonger car ça lui faisait trop mal. Ma mère qui était venue lui rendre visite ce matin-là l'a emmener chez son médecin traitant qui a diagnostiqué une gastro. Elle est est repartie avec des médicaments pour la gastro. Arrivée chez elle, elle les a prit mais à tout revommit de suite. Ces douleurs et vomissements ont duré comme ça toute la matinée et début d'après-midi, mais le médecin ayant diagnostiqué une gastro, ma mère qui est restée avec ma grand-mère tout ce temps n'a jamais pensé un seul instant que ça pourrait être autre chose de plus grave. Et la tragédie est arriver en fin d'après-midi alors qu'elle était assise dans son canapé. Elle a dit à ma mère qu'elle ne se sentait pas bien, s'est effondrée et a poussé 2 soupirs. Ma mère a pensé à une perte de connaissance sans gravité, mais à appelé le samu quand même, qui selon elle a prit du temps pour arriver. Le samu a tenté un massage cardiaque pendant 15 min mais rien, un médecin allait annoncer l'heure du décès, mais en voyant la détresse de ma famille ils ont retenté un massage cardiaque et ils ont pu avoir un pouls. Donc le samu l'a emmenée à l’hôpital, mais en donnant peu d'espoir à la famille. A l’hôpital, au moment de l'emmener au bloc pour lui déboucher les artères, elle à refait un arrêt cardiaque et nous à quitté à jamais. Aujourd'hui, j'ai beaucoup de mal à faire mon deuil, mais surtout j'ai du mal à comprendre comment un médecin peut confondre un infarctus avec une gastro. Je souhaite bon courage à tout le monde qui a eu une expérience comme 12h25thBonjour, oui c'est sûr que c'est une maladie qui n'est finalement pas si rare, mais tellement mal diagnostiquée. Moi personnellement, j'aurais aimé aussi avoir sur ce site, des témoignages de personnes qui ont survécu à cet infarctus mésentérique, mais déjà de pouvoir en parler cela fait du bien. C'est bien que des personnes puissent témoigner, c'est sûr aussi que cela n'apporte qu'un maigre soutien aux personnes qui sont malheureusement décédées du fait de la mauvaise prise en charge. La maladie fait beaucoup penser à une gastro-entérite, d'où le mauvais diagnostic ou tardif. Mais faut surtout se dire que cela arrive tellement subitement qu'il ne faut pas s'en vouloir de ne pas y penser de suite. Courage à 16h51géTout d'abord, je veux témoigner de ma sympathie à "chevalier 10", et la remercier de communiquer sur l'épreuve qu'elle subit. La lecture depuis l'origine des messages publiés sur le site m'a permis de comprendre le mécanisme de cette maladie sournoise et peu connue, mais malheureusement pas si dire que cela m'a apporté un certain réconfort, et j'en suis reconnaissant envers les responsables du site et tous ceux qui l'ont regrette que cet infarctus soit si peu connu et que même des médecins diagnostiquent une gastro 21h59chJ'ai aussi perdu mon époux dans des conditions tragiques. Il avait déjà été victime de plusieurs occlusions intestinales et d'une nécrose du colon découverte par hasard. Le samedi après-midi, il a déclaré avoir la diarrhée ; le dimanche, diarrhées, vomissements, puis en fin de journée hoquets incoercibles. J'ai pensé à une occlusion.... Le lundi matin, il était pâle ; le médecin traitant consulté et qui connaissait ses antécédents l'a traité pour une gastro-entérite. A minuit, il s'est couché en déclarant aller de plus en plus mal. J'ai songé un instant appeler le Samu et le faire hospitaliser au Val de Grâce où il avait été précédemment opéré des occlusions. Mais l'idée de consulter dans la nuit, et de le confier à un interne, m'a fait hésiter. J'ai décidé d'attendre 6h du matin pour être à l'hôpital à 7h et pensant que les urgences feraient les examens nécessaires avant l'arrivée du "patron" à 8 h. Hélas, à 4h20 du matin, ce fut l'issue fatale l'hémorragie a été violente par les voies inférieures et supérieures. Il est tombé à mes pieds alors que je l'accompagnais aux toilettes il n'avait pas la force d'y aller seul. Je pense que les médecins ne sont pas assez formés et informés au sujet des pathologies du mésentère, contrairement au USA où cette pathologie est bien enseignée. Si le diagnostic avait été correct le lundi matin, peut-être aurait-il survécu... Il m'est difficile d'accepter cette erreur car mon époux avait une pathologie intestinale 08h33thRéponse à Milou, il ne faut pas vous en vouloir, car c'est une maladie si on peut dire qui vous arrive comme cela, sans prévenir, les symptômes, sont souvent celui d'une douleur abdominales. Moi personnellement comme expliqué dans le message, je pensais que c'était l'Augmentin, qui ne passait pas et qui me donnait des maux d'estomac et intestinaux. Et c'est en prenant Spasfon etc qui ne passait pas et me faisait vomir, que je me suis inquiété. Et surtout lorsque j'allais à la selle et que c'était du sang. Mais c'est vrai que tout les médecins, que vous verrez vous diront que ce n'est pas à l'infarctus mésentérique qu'ils pensent en premier, mais à une gastro ou autre. Moi j'ai peut être eu la chance d'avoir un médecin remplaçant qui ne sachant quoi faire, m'a envoyé aux urgences, et comme je souffrais beaucoup, j'ai souvent demandé à voir quelqu'un aux urgences, d'où la visite d'une chirurgienne en viscérale ; apparemment grâce à elle, l'infarctus à été étudié comme possibilité à confirmer ensuite. Mais malgré cela, elle m'a quand même annoncé que je ne résisterai pas à l'opération et ne me réveillerai pas. J'ai survécu avec bien sur des séquelles, mais oui je suis en vie, je me suis vue morte, mais à ce moment là , j'avais tellement mal que je ne demandais que cela de mourir, pour ne plus avoir mal..Surtout arrêtez de culpabiliser, de vous dire que vous n'avez pas été assez réactive, il faut essayer de passer à autre chose...je sais c'est facile à dire pour moi, j'y ai survécu physiquement, mais je reste moralement très affecté, car quand cela vous arrive, vous vous dites pourquoi moi ?Bon courage. 27/05/2013, 21h23miMon mari n'avait que 48 ans, la vie est trop injuste, nous étions en vacances je m'en veux vraiment de n'avoir pas été réactive aux première heures. Je ne me le pardonnerai jamais. thyne26/05/2013, 20h23thMessage pour Gébé et Milou Merci Gébé, oui on peut dire que j'ai échappé à une issue fatale, et apparemment pas que grâce à mon âge, mais aussi au fait que j'ai peut-être réagi assez vite au regard des douleurs que j'avais et aussi au fait que je n'avais aucun autre souci de santé. enfin, je suppose mais, c'est sur que l'âge et la résistance physique jouent pour beaucoup. Quoique lorsque cela nous arrive, on ne pense qu'à une chose, c'est mourir pour être soulagé de cette atroce douleur cela doit être très dur effectivement et comme dit Gébé, vous ne précisez pas l'âge, mais qu'importe, en même temps l'âge de la personne, c'est un être que l'on aime et qui nous quitte brutalement pour une foutue maladie qui nous tombe dessus comme cela. Je vous souhaite à tous les deux, beaucoup de courage, pour remonter la pente et surtout essayer de passer à autre chose, mais sachez que cela arrive tellement vite, et aussi impossible de savoir de suite que c'est cette maladie qui nous tombe dessus, que nous ne pouvons malheureusement pas faire grand chose....Gébé26/05/2013, 11h14GéJe réponds à Thyne du 13/05/13 et Milou du 24/05/ vous avez échappé à l'issue fatale, et je pense que c'est grâce à votre jeunesse. Je vous souhaite un prompt rétablissement. Je vous remercie pour votre témoignage très détaillé qui confirme combien cette attaque est sournoise et difficile à Je comprends votre souffrance et votre tendance à culpabiliser, j'ai connu cela moi aussi. Des médecins de mon entourage m'ont aidé à m'en affranchir peu ou ne précisez pas l'âge de votre mari, ma femme avait 70 ans, elle n'avait aucune pathologie, et rencontrait régulièrement son médecin, sauf qu'il n'était pas libre quand il aurait fallu. Dites-vous que c'est une fatalité ; cette maladie ne prévient pas, elle est extrêmement brutale et ses symptômes sont sournois car ils peuvent être confondus avec des signes propres à des affections 16h08miBonjour, j'ai perdu mon mari le 8 mai 2013 pour un infarctus vraiment du mal à m'en remettre, je cherche à savoir le pourquoi du comment, trouver une explication. Mais même les médecins ne l'explique a été pris le mardi 7 mai de douleur abdominale et comme il étais sous traitement, il pensait que c'était des effet indésirables. J'ai insisté pour l'emmener aux urgences. Il ne voulait pas. Ce n'est que le lendemain matin 9 h qu'on l'a emmener aux urgences ; le diagnostic est tombé trop tard. Quand il a été opéré à 13h30, il était déjà inconscient. Il a fait deux arrêts cardiaques sur la table et le troisième en réanimation, ce qui lui a été fatal. Aujourd'hui, je culpabilise car j'aurais dû le traîner de force à l'hôpital. Il aurait sûrement survécu à cette opération. Je suis vraiment désespérée et je ne fait que pleurer. thyne13/05/2013, 14h55thBonjour gégé, je réagis un peu tard, mais j'ai moi-même subi un infarctus mésentérique, donc faut beaucoup de recul pour en parler plus facilement, je commence seulement à remonter. J'ai eu cette saleté d'infarctus en juillet 2012. Et tout comme beaucoup de personnes, la chirurgienne m'a clairement dit que j'allais mourir. Eh oui, pas facile d'entendre et après de se vais commencer, par le début de mes symptômes. Mi-juillet, j'ai commencé à tousser, un peu et d'être vite essoufflé, avec des sueurs nocturnes très intenses, j'étais trempé toute les nuits. Travaillant en tant que secrétaire médicale chez des médecins généralistes, j'ai demandé une radio poumons et pris de l'Efferalgan. La radio a relevé un début de pneumonie assez banale, j'ai donc continué à travailler et devant l'insistance de mon essoufflement, demandé une prise de sang qui m'a relevé un taux de D-Dimères très élevé. Comme je travaillais le jour des résultats, mon patron et donc mon médecin, m'a envoyé directement aux urgences de l'hôpital car il craignait une phlébite ou voir embolie pulmonaire. je suis donc allée aux urgences je passe sur l'accueil des urgences. Arrivée la-bas, ils me font des examens complémentaires avec angio-scan thoracique à la recherche d'une embolie pulmonaire qui s’avère négatifs, prise de sang avec toujours taux de D-Dimères positifs, mais finalement me donne Augmentin et me font sortir en me précisant que si cela ne va pas mieux le lundi je dois précise on été vendredi soir, le lendemain, je vais travailler. Pas de souci, l'après-midi, je vais chez mon compagnon à 140 km de chez moi et rien mise à part toujours cet essoufflement intensif et mes pieds glacés. Dans la nuit du dimanche à lundi, j'ai été prise de maux de ventres très intenses. Ayant pris de l'Augmentin, je me suis dis, c'est l'estomac qui déraille, j'ai donc pris du Spasfon, etc. Mais rien ne faisait passer le mal, je téléphone à mon médecin et il me dit que je dois prendre du Spasfon, mais cela ne passe toujours pas et de plus en plus mal avec aussi selles sanglantes. J'appelle donc un médecin que je ne connais pas puisque pas de mon secteur ; celui-ci après auscultation m'envoie aux Urgences de Valenciennes et là commence mon cauchemar et en même temps merci à eux, qui m'ont mon arrivée après plusieurs examens, ils m'ont annoncé qu'ils pensaient à un infarctus mésentérique, mais que cela m'étonnerait que je survive, car ils ne savent pas ce qu'ils vont trouver une fois mon ventre opéré. Donc, prévenir mon ami, ma famille qu'il faut qu'ils viennent me voir, car je ne me réveillerait certainement pas et me le disent je vous avouerai qu'à ce moment là , on a tellement mal que l'on ne fait plus trop attention à ce que l'on nous dit. Après 6 heures en salle d'opération, je me réveille Eureka pour ma famille, pas pour moi au début, car ils m'ont enlevé mon intubation. Ils pensaient que j'aurais réussi, mais erreur, au bout d'un jour, j'ai supplié que l'on me réintube car j'ai fait sur cet infarctus mésentérique, une pneumopathie, donc plus moyen de respirer. Au total, je suis restée 7 jours en réanimation, 2 jours en soins continue et 5 jours en hospitalisation. Je peux dire merci à la Chirurgienne qui m'a diagnostiqué de suite ce truc de merde, je me suis aussi battue pour mon chéri et ma famille. J'ai mis deux mois pour que ma cicatrice se referme ablation agrafe trop tôt en réa. Cela fait 10 mois que je suis en arrêt maladie, toujours fatiguée, avec de gros problèmes intestinaux, car ils m'ont prélevé 1 mètre d'intestin qui était totalement nécrosé. Et surtout ils ne savent pas de quoi cela peut provenir. Car je ne fume pas, je suis encore jeune 46 ans et une vie normale. Donc toujours en recherche de la cause avec des médecins spécialistes en génétique et aussi un doute sur cette pilule dont on a tant parlé...Voilà , un peu mon histoire. Cordialementgébé05/09/2012, 11h19géMerci à témoignage m'a beaucoup touché et conforté dans ma conviction que cette maladie était fatale et peu connue, même des praticiens. Je n'ai pas de ressentiment envers le médecin de SOS qui n'a pas fait le bon diagnostic mais j'ai décidé de changer de médecin traitant, car ce dernier n'a pas répondu à ma demande pressante et argumentée de rendre visite à une patiente qu'il connaissait pour ne pas le déranger sans motif de tout coeur, et acceptez mes sincères condoléances pour votre propre 09h33daBonjour, j'ai perdu ma mère, l'année dernière, pour les mêmes raisons, mais pas dans le mêmes conditions. Cependant, le résultat fut le même. Je m'explique. Dès les premiers symptômes, un mal de ventre très violent et des sueurs, j'ai appelé le SAMU, ma mère étant habituellement très en forme à 75 ans. Ils l'ont transporté à l'hôpital, les médecins n'ont malheureusement pas su faire le diagnostic à temps et 24 h plus tard et 5 arrêts cardiaques, maman s'est éteinte. Nous étions dans un petit hôpital, le personnel n'a pas pensé à l'infarctus mésentérique à ce moment là , ils croyaient plutôt à une embolie...Sachant cela, peut-être aurez-vous moins de rancune envers ce médecin un peu trop confiant, car même s'il s'était déplacé, aurait-il fait le bon diagnostic, j'en doute quand on voit les statistiques... Bon courage, que votre douleur s'apaise dans l'amour de celle qui vous a quitté. Daniegébé06/06/2012, 22h26gépour laura 59. Bon courage à vous, et merci de transmettre une information sur cette terrible maladie, car cela m'intéresse au plus haut point, je n'ai pas encore "digéré" le décès brutal de mon épouse. J'espère que vous me tiendrez au courant, et je vous en remercie. Avec toute ma 13h27laBonjour, mon père, âgé de 60 ans, a présenté des signes d'infarctus mésentérique, comme pour vous, le diagnostic s'est arrêté sur une gastro entérite... Quelques jours plus tard, mon père s'est retrouvé aux urgences pour cet infarctus... heureusement, il a été pris à temps, cependant, aujourd'hui, 1 mois après l'intervention, les signes reviennent de plus belle, verdict ce soir après le scanner ...Bon courage à 11h57liJe crois n'avoir pas été clair dans mon expression "nous sommes responsables à 100%". Ce que je voulais dire c'est que nous sommes responsables de notre santé et nous de devons pas avoir peur de nous exprimer doutes, suggestions de diagnostiques etc... devant le corps médical. Je demandé à un ami chirurgien ce qu'il pensait de la difficulté de diagnostiquer un infarctus mésentérique. Il m'a dit que ce diagnostic n'était pas évident à faire et qu'il fallait des examens complémentaires pour arriver à déceler un infarctus troubles liés à un infarctus mésentérique peuvent mettre 48 heures à se manifester et dans ce cas m'a t'il dit il est bien souvent trop tard. Cordialement gébé15/03/2012, 11h57géC'est bien la question que je me maladie peut elle être détectée avant qu'il ne soit trop tard? Existe-t-il des signes avant coureurs? Mon épouse était suivie régulièrement pour des problèmes habituels de son âge, mais elle était particulièrement active et avait été vue par un professeur en cardiologie qui avait décidé de fixer la prochaine visite à échéance de cinq contre, ce que je n'admets pas, c'est l'attitude du médecin traitant qui ne s'est pas déplacé alors que connaissant très bien sa patiente, il savait qu'elle n'avait jamais sollicité une visite à domicile , même après que je lui ait rendu visite le soir du premier jour pour lui apprendre que l'état de sa malade ne s'améliorait pas et lui rapportais exactement les symptômes. Précision nous habitons en plein n'admets pas non plus que vous puissiez dire que nous sommes à 100% responsables de notre femme menait une vie régulière, elle se préoccupait de sa santé. Je considère qu'elle a été victime d'un accident fatal mais il est indéniable que la réponse de la médecine n'a pas été à la 17h07liVotre témoignage m'a touché. Je pense en effet que les médecins sont compétents mais que c'est à nous de prendre en main notre santé. Notre corps est la seule machine dont notre vie dépend à 100% et dont nous sommes 100% responsables. Je ne pense pas qu'il faille se substituer au médecin bien loin de là mais analyser ses symptômes et essayer comprendre ce qui se passe est la moindre des choses. Pensez-vous que si le corps médical avait pu diagnostiqué un infarctus mésentérique à temps elle aurait pu être sauvée ?
Cessymptômes apparaissent après un transfert d'embryons congelés (TEC) et d'embryons frais, tout comme s'il s'agit d'embryons de 3 ou de 5 jours. Si des symptômes plus intenses surviennent, il est impératif de consulter un spécialiste: saignement continu et intense, fièvre, vomissements, ballonnements, douleur abdominale ou difficulté respiratoire.
En France, environ un couple sur huit consulte en raison de difficultés à concevoir un enfant, indique l'Inserm Institut national de la santé et de la recherche médicale Source 1. Dans trois quarts des cas, l’infertilité est d’origine masculine, féminine, ou elle associe les deux sexes. Il faut rappeler qu'un couple est considéré comme infertile s’il n’a pas pu concevoir d’enfant après 12 à 24 mois de tentatives sans contraception. Définition qu'est-ce qu'une une FIV fécondation in vitro ?La fécondation extra-corporelle ou Fécondation In Vitro FIV consiste à "reproduire au laboratoire ce qui se passe naturellement dans les trompes la fécondation et les premières étapes du développement embryonnaire", explique le Centre Hospitalier Universitaire CHU de Toulouse Source 2."Cette technique permet de court-circuiter les trompes stérilités tubaires et de rapprocher les spermatozoïdes des ovocytes stérilités masculines". Le processus commence par une étape essentielle la stimulation des ovaires. C'est cette dernière qui va permettre le développement de plusieurs follicules. Ensuite, ces ovocytes prélevés ponction sont mis en contact dans une boîte de culture avec les spermatozoïdes du conjoint. Au bout de 48 heures, des embryons à 2 ou 4 cellules peuvent être obtenus. Ils sont alors replacés dans l’utérus transfert où ils pourront effectuer leur nidation. Qui a le droit à la FIV ? Jusqu'à quel âge ?La fécondation in vitro ou FIV est une technique très encadrée en France. En dehors du contexte médical, elle est accessible aux femmes seules, en couple hétérosexuel ou homosexuel en âge de procréer. Quant à l'âge, la loi n'indique pas d'âge limite pour accéder à la PMA, mais la prise en charge par l'Assurance maladie s'arrête à 43 et ICSI quelles différences entre les deux procédures ?Un échec de fécondation pourra nécessiter le recours à une autre technique qui s'appelle l'ICSI, ou injection intracytoplasmique de spermatozoïde. Elle est notamment indiquée en cas d'infertilité masculine, qui peut avoir plusieurs causes insuffisance testiculaire, azoospermie absence totale de spermatozoïdes, oligospermie très faible nombre de spermatozoïdes...En effet, pour que la fécondation soit possible, il est nécessaire que les spermatozoïdes "soient en nombre suffisant, qu’ils soient mobiles et qu’ils aient une morphologie normale", rappelle le CHU de Toulouse. Et dans certaines infertilités masculines, "les conditions ne sont pas remplies et les spermatozoïdes ne peuvent pas spontanément féconder l’ovocyte".Cette technique "a résolu la grande majorité des problèmes d’infertilité masculine puisque seuls quelques spermatozoïdes mobiles sont nécessaires pour obtenir des embryons", explique l'Inserm Source 2. En effet, avec l'ICSI, on injecte directement un spermatozoïde dans l’ovocyte, ce qui augmente les chances d’obtenir des embryons ovocytes fécondés. Elle représente aujourd'hui environ 67 % des FIV sur la PMAL’assistance médicale à la procréation AMP, ou procréation médicalement assistée PMA, consiste à manipuler un ovule et/ou un spermatozoïde pour favoriser l’obtention d’une grossesse, explique l'Inserm Source 3. "Elle permet de palier certaines difficultés à concevoir, sans nécessairement traiter la cause de l’infertilité". En France, en 2015, 3,1% des enfants sont nés grâce à une AMP, soit une naissance sur 32 lire aussiQuelles sont les étapes du déroulement d'une FIV ?Le processus de la FIV se compose de plusieurs stimulation de la croissance folliculaire et le déclenchement de l’ovulation"C’est l’étape essentielle de la FIV, elle en conditionne les résultats. Elle a pour objectifs de contrôler et d’assurer une stimulation de la croissance folliculaire correcte permettant le déclenchement de l’ovulation au bon moment", explique le CHU de Toulouse. Les médicaments utilisés nécessitent le plus souvent un délai de 48h pour être obtenus en pharmacie."Lorsque la stimulation et la maturation folliculaire sont suffisantes, on peut déclencher l’ovulation en mimant le pic de LH". Dans 11 % des cas, la stimulation n’est pas de bonne qualité. Il s’agit soit d’une hyperstimulation ovarienne une réponse trop importante des ovaires ou d’une hypostimulation une réponse trop faible.Le recueil et le traitement du spermeLe recueil du sperme s’effectue le jour de la ponction des ovocytes après un délai d’abstinence sexuelle absence d’éjaculation compris entre 2 et 6 jours. Le recueil des ovocytes la ponction folliculaireElle s’effectue environ 36 heures après l’injection d’Ovitrelle médicament contient une hormone qui stimule les organes de la reproduction. Elle est réalisée sous contrôle échographique à l’aide d’une aiguille qui va permettre de ponctionner les follicules à travers la paroi du vagin et de recueillir les ovocytes par aspiration du liquide fécondation in vitro proprement diteElle se scinde en trois étapes Recherche et mise en culture des ovocytes "après avoir été examinés, les ovocytes sont pipettés et transférés dans un milieu de culture pour fécondation, puis conservés dans une étuve à 37°C", détaille le CHU de Toulouse ;Insémination des ovocytes "environ 50000 spermatozoïdes, ainsi préparés, vont être mis dans le milieu de culture où se trouvent les ovocytes" ;Surveillance de la croissance embryonnaire 24 heures après avoir été observés une fois en milieu de culture "neuf", un "examen microscopique est réalisé. Si la fécondation a eu lieu, on peut observer des embryons à 2, 4 ou 8 cellules".Le transfert d’embryonsProchaine étape le transfert d'embryons. "2 ou 3 jours après la ponction selon les cas, les couples téléphonent dans le service à 9 heures, afin de savoir s’ils ont des embryons", explique le CHU de Toulouse. L'intervention se déroule à l'hôpital. Les embryons sont déposés dans la cavité utérine de la patiente, à l’aide d’un fin cathéter. "Le transfert est indolore et très rapide". À noter "les chances de grossesses augmentent avec le nombre d’embryons transférés mais les risques de grossesses multiples augmentent également parallèlement", indique le CHU. L’attenteAprès le transfert, commence l’attente du succès ou de l’échec, souvent difficile. Deux cas peuvent survenir "L’apparition des règles signe l’échec entre le dixième et le quatorzième jour après le transfert,L’absence de règles 2 semaines après la réimplantation conduit à pratiquer un dosage des ßHCG hormone spécifique de la grossesse afin de faire le diagnostic d’une éventuelle grossesse. Une échographie sera réalisée 6 semaines après le transfert s’il y a grossesse".Quels sont les inconvénients de la fécondation in vitro ?"Il faut de l’endurance, explique Caroline. C’est la course entre les rendez-vous, les traitements, le travail, le quotidien. Trois ans après, on y est encore. Si je l’avais su, je me serais organisée autrement". Car certains médecins ne donnent pas de rendez-vous avant des mois, d’autres suppriment des examens qui se révèlent cruciaux après des échecs et il faut revenir à la case précédente...Depuis 2016, la loi permet aux femmes de “bénéficier d’une autorisation d’absence pour les actes médicaux nécessaires” et au conjoint de l’accompagner à trois rendez-vous par protocole. "Les couples ont parfois le sentiment d’une perte de temps, mais le corps doit se reposer", souligne le Dr François Olivennes, gynécologue, spécialiste de l’infertilité. "Il faut attendre deux ou trois mois entre chaque FIV. On ne peut pas aller plus vite".Il faut batailler pour obtenir des explications"Au début, mes rendez-vous duraient de 10 à 15 minutes, les médecins se contentaient du minimum et j’assimilais les infos lentement", raconte Caroline. "C’est l’infirmière qui m’a expliqué le traitement, ses effets secondaires... Je regrette que les médecins ne prennent pas le temps de se poser pour parler". Pour le Dr Olivennes, il y aurait des efforts de pédagogie à faire, "mais les médecins sont noyés sous les demandes. Je ne peux consacrer plus de 20 minutes à chacune". Il faut oser poser des couple est malmené quand il y assistance médicale à la procréation"Il faut oublier le glamour quand votre mec est à côté de vous et que vous avez un speculum dans le vagin, quand il doit se masturber seul dans son cabinet, quand il faut faire l’amour à date obligée", dit une femme. Deux terrains de tension la sexualité utile et le décalage entre l’implication de l’un et de l’autre."On a le sentiment d’être la seule impliquée physiquement, avec tout ce que l’on endure", ajoute une autre. "Il ne faut jamais oublier qu’un bébé se fait à deux, et que sans l’homme rien ne se réalise", souligne Alix Franceschi-Léger, psychologue au centre de fertilité des Diaconesses Paris. "Le couple est malmené car c’est une médecine très intrusive. Mais il doit rester un lieu où parler, être écoutée et écouter l’autre". Et Céline de témoigner "il a fallu apprendre à garder, malgré les difficultés, l’humour, la tendresse et l’espoir".On a le droit de changer de centre d'AMPDe Céline, qui a été auscultée par six gynécos différents, à Élodie, qui s’est sentie n’être plus qu’un utérus, beaucoup témoignent du désarroi face au sentiment de n’être qu’un “objet médical”."L’expression être 'dépossédée de son corps' prend tout son sens. Mon corps est réduit à 'ovaire', 'follicule' et 'endomètre'", dit Caroline. "Ce n’est pas leur corps qui est un objet médical, mais leur problème", rappelle Alix Franceschi-Léger. Et la médecine s’occupe de leur problème. "Si le dialogue est difficile et si on ne sent pas respectée ou pas assez prise en compte, on peut changer d’équipe médicale", conseille Virginie Rio, porte-parole de l’association BAMP, qui rassemble des personnes lire aussiFIV un accompagnement psychologique est recommandéLe traitement contre l'infertilité est bien souvent un parcours du combattant. "Je n’imaginais pas que ce serait si dur", raconte Caroline, en cours de traitement depuis trois ans. Entre les mauvais résultats aux examens, les échecs des inséminations, la peur de ne jamais avoir d’enfant et le sentiment que personne ne comprend, "notre moral est tombé très bas, jusqu’au jour où nous avons décidé d’aller chez un psy, ce qu’aucun médecin ne nous avait proposé". Céline a, elle aussi, fini par aller consulter. "Pendant deux ans, j’ai ravalé mes frustrations. Voir un psy m’a ramenée à l’essentiel nous voulions un enfant".La loi impose aux centres d’Assistance médicale à la procréation AMP d’inclure un psychologue dans le processus. "Mais ils ne consultent parfois que quelques heures", regrette Alix Franceschi-Léger."Mon conseil, se constituer une équipe de soutien un psychologue, un généraliste avec qui on peut discuter, un gynécologue avec qui on s’entend, un prof de yoga pour faire la paix avec son corps... C’est indispensable pour affronter ce tourbillon d’émotions", fécondation in vitro a des effets secondaires sur la santéOn oublie souvent d'en parler, mais en cas de FIV, des effets indésirables peuvent apparaître le temps des traitements. "Lors des premiers traitements, j’avais des maux de tête, des vertiges, des nausées et une grosse fatigue", raconte Axelle, en cours de sa cinquième FIV. Élodie regrette, elle, de ne pas avoir échappé à la prise de poids due à la rétention d’eau, comme un tiers des femmes après une stimulation ovarienne."Les effets secondaires sont différents selon le protocole et les réactions de la patiente", souligne le Dr Olivennes. Les complications graves, comme les risques de thrombose et de phlébite, sont rares, de 1 à 2 % des cas, rassure-t-elle. Sont plus courants Les jambes lourdes ;Le ventre gonflé ;La prise d’un ou deux kilos ;De 6 à 10 % des femmes se plaignent également de crise de larmes inattendues."L’assistance médicale à la procréation, comme certaines grossesses ou accouchements, n’est pas un conte de fées", conclut la Dre Joëlle Belaïsch-Allart, gynécologue, qui dirige le service d’AMP du Centre hospitalier des Quatre Villes, à médicaments n'augmentent pas le risque de cancer du seinSelon une étude publiée en juin 2021, les médicaments couramment utilisés pour libérer des ovules pendant la fécondation in vitro n'augmentent pas le risque de développer un cancer du sein Source 4. Ces conclusions ont été publiées dans la revue Fertility and Sterility. Les médicaments utilisés pour stimuler les ovaires augmentent la production d'hormones œstrogènes et peuvent agir sur les cellules mammaires. Les scientifiques redoutaient que cela puisse rendre les cellules cancéreuses. La revue a examiné les études de 1990 à janvier 2020. "Les chercheurs n'ont trouvé aucune augmentation significative du risque pour les femmes exposées au traitement par rapport aux femmes non traitées et aux femmes non traitées qui étaient infertiles", note l' FIV à 40 ans c'est possible ? Quels sont les risques ?Avoir un enfant après 40 ans comporte des risques, cela ne fait aucun doute. Mais le nombre d’anomalies et de maladies congénitales serait moins élevé chez les femmes qui ont eu recours à un FIV que chez celles qui ont conçu naturellement Source 5. C’est une étude publiée par la revue International journal of obstetrics & gynaecology BJOG qui l’ effet, la procréation médicalement assistée, comme la FIV, a tendance à augmenter les risques pour l’enfant à naître. Mais le "phénomène inverse tout à fait remarquable", inexpliqué par les chercheurs, a lieu chez les mères de 40 ans et plus ayant eu recours à cette méthode. Les scientifiques de l’université d’Adélaïde, en Australie, ont analysé les données de 300 000 naissances naturelles, 2 200 naissances issues d’une FIV et 1 400 naissances issues d’une ICSI voir plus haut.Le rôle de la stimulation ovarienneGlobalement, lorsqu’on ne tient pas compte de l’âge de la mère, la fréquence moyenne des anomalies ou maladies congénitales est de 5,7% pour les bébés conçus naturellement, de 7,1% pour ceux issus d’une FIV et de 9,9% pour ceux issus d’une ICSI. Mais, surprise, alors que les risques chez les bébés nés par FIV ou par ICSI s’élèvent à 9,4% chez les femmes de moins de 30 ans ,ils chutent à 3,6% chez les femmes de plus de 40 en cas de conception naturelle, le chiffre est de 5,6% pour les jeunes femmes et de 8,2% chez les femmes de plus de 40 ans. Les risques d’anomalies sont dont moins fréquents lorsque la future mère ayant dépassé la barre des 40 ans a eu recours à une FIV plutôt qu’en cas de conception naturelle. Les chercheurs ont émis l’hypothèse que la stimulation ovarienne, obligatoire en cas de fécondation médicale, serait capable d’inverser le déclin de l’ovulation lié à l’ lire aussiQuel est le taux de réussite d'une FIV ?La fécondation in vitro a un taux de réussite supérieur à d'autres traitements de PMA moins complexes, tels que l'insémination artificielle, mais son taux de réussite reste assez les derniers chiffres en date, en 2019, 157 593 tentatives d’AMP ont été recensées inséminations intra-utérines, fécondations in vitro avec ou sans ICSI, décongélations d’embryons congelés avec gamètes et embryons issus ou non d’un don, écrit l'Agence de la biomédecine Source 6. Parmi elles, les enfants nés vivants issus d’une AMP étaient au nombre de 27 063. Ils représentaient alors 3,6% des enfants nés de la population noter dans 31% des tentatives de fécondation in vitro en 2019, une congélation embryonnaire a été réalisée."J’aurais aimé que l’on nous dise que l’on peut échouer. On a tout l’espoir et l’impression que l’AMP finit toujours par marcher, eh bien non, loin de là ", observe Élodie. Elle n’est pas la seule "si on nous l’avait dit dès le début, cela aurait jeté un froid, mais c’est une réalité à laquelle il faut être préparé".Pourquoi les médecins n’annoncent-ils pas les taux d’échec ?"Parce qu’il existe de grandes différences d’un centre à l’autre, en fonction des techniques et de la patientèle", explique François Olivennes. "Et parce que certains ne veulent pas d’emblée démoraliser les couples. Mais je suis favorable à la transparence".Une étude révèle les taux de réussite en fonction de l'âge et des cyclesDe nouvelles données compilées par des chercheurs de la Victorian Assisted Reproductive Treatment Authority montrent que la plupart des femmes qui y ont recours ont besoin de plus d'un cycle de fécondation in vitro pour une chance raisonnable de succès et que ces chances chutent avec l'âge. Les chercheurs ont pu établir une estimation de la probabilité que ces femmes aient donné naissance à un bébé après avoir terminé une, deux ou trois séries de FIV Source 7.Les résultats montrent que les femmes ayant commencé une FIV avant l'âge de 30 ans avaient 43% de chance d'avoir un bébé après un cycle stimulé, 59% de chance après deux cycles et 66% de chance après trois cycles ;Pour une femme ayant commencé une FIV à 35 ans, il y avait 40% de chance d'avoir un bébéaprès un cycle, 54% de chance après deux cycles et 61% de chance après trois cycles ;Enfin, une femme ayant commencé le processus à 40 ans, a 13% de chance d'avoir un bébé après un cycle, 21% de chance après deux cycles et 25% chance après trois dans tous les groupes d'âge, les chances de succès augmentaient à chaque cycle de FIV, mais diminuaient avec l'âge. Le but est donc de faire savoir que la FIV ne doit pas être considérée comme une "police d'assurance" et que les personnes souhaitant avoir un bébé devraient essayer le plus tôt possible. Les chercheurs rappellent cependant que bien que l'âge soit un facteur clé de succès pour une FIV, d'autres facteurs peuvent influencer négativement le résultat tabac, surcharge pondérale, stress... De plus, si une femme dans la trentaine ou la quarantaine utilise des ovules donnés par une femme plus jeune, ses chances de réussite s'avèrent les mêmes que celles liées à l'âge de la est le coût d'une FIV en France ?La FIV a aussi un aspect financier à ne pas négliger c'est une procédure coûteuse qui n'est pas accessible à tout le monde. Une tentative de FIV coûte 2500 € environ. Mais heureusement, "ces tentatives sont prises en charge à 100% par la sécurité sociale dans le cadre du traitement de stérilité. Nous vous conseillons de vérifier la validité de votre prise en charge à 100%. Celle-ci doit être demandée par votre gynécologue. Si elle n’est plus valable, vous devez vous adresser à votre gynécologue pour demander un renouvellement que vous transmettrez à votre caisse", écrit le CHU de Toulouse. Autre point à préciser à partir du 43ème anniversaire, la FIV n'est plus prise en charge par l'Assurance faut savoir également que les frais de transport ne sont pas pris en charge.
Lapparition des règles signe l’échec (entre le dixième et le quatorzième jour après le transfert), L’absence de règles 2 semaines après la réimplantation conduit à pratiquer un dosage des ßHCG (hormone spécifique de la grossesse) afin de faire le diagnostic d’une éventuelle grossesse. Une échographie sera réalisée 6
Forum / Grossesse bonjour a toutes! voili j'ai eus mon transfert le 19 mars et pds prévue le 3 avril! depuis envirion une semaine j'ai des douleures types règles et la depuis 4 jours c'est vraiment des douleures comme si j avais mes règles mais aucuns saignements!! qui a été dans le même cas et quand même au plus! la j y crois plus trop moral en bas!! merci déjà a toutes de vos réponses Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. Ne t'inquiète pasc'est très courant et ça ne veut rien dire ! 1 - J'aime CoucouCela ne veut rien dire...J'ai perdu du sang pdt trois jours et prise de sang ++++++++++++Courage, et même si tu crois avoir tes règles saignement important, vas faire ta prise de sang ! Moi, j'ai failli arrêter le traitement et ne pas faire de pds !Bises,Sandrine. J'aime Moi !Et d'ailleurs, j'avais pas fait ma pds parce que je pensais que mes règles allaient arriver ! J'ai eu mal au ventre au bout de 4 ou j ! Et j'ai fait ma pds avec 10 j de retard !!! ;fou;Antoine a 14 mois !!! ;amourles contractions de l'utérus pour la nidification sont exactement les memes quepour les règles !! Donc, c'est impossible de savoir !!!Bon courage !! J'aime Très bonne question et réponses encouragantes!!j'ai fait le transfert le 21 et pds prévue le 4 avrilj'ai aucun symptômes sauf légèrement les seins sensiblessurtout le soir et des ptites douleurs comme les règles mais en plus léger surtout le matin!alors on verra bien!mais je vois qu'on peut quand même espérer un +++++courage à toi tiens moi au courant!ness J'aime MoiJ'ai eu également des douleurs de regles avant la pds et meme après. D'ailleurs, quand je suis allée à la pds, je n'y croyais plus et mon homme non plus le soir quand il est rentré et qu'il m'a vu pleurer, il a cru que c'était négatif alors qu'en réalité, je pleurais de joie. Aujourd'hui Arthur à 3 mois et 1 bonne courage a 5 - J'aime MoiLes douleurs ont commencé la veille de la pds ou le matin même je ne sais plus trop mais en tout cas c'est sûr c'était des douleurs de règles, d'ailleurs je filais toutes les 2 minutes aux toilettes en étant sûr que j'allais voir du sang tellement ça y puis finalement la pds était positive avec un taux à 196 et les douleurs de règles ont continué pendant plusieurs jours après, d'ailleurs à chaque fois je stressais parce que je pensais qu'elles allaient voilà , j'en suis aujourd'hui à 12sa+4 et tout va chance à toi 1 - J'aime Vous ne trouvez pas votre réponse ? Bonjourbonjour voilas j ai fais mom transfert le 20 mars moi et je fais mas pds le 4 avril et depuis 4 jours j ai des douleurs comme si j aller avoir mais regles mais le soir j ai plus mal au ventre et ce matin j ai craquer je suis aller prendre un teste de grosese et il est positif je sais plus quoi penser sa me destabilise tous sa ma pharmaciene ma dit que c etait les hormones qui doner c est douleur au ventre de pas m inquiter alors t imquietes pas facil a dire mais pas a faire je sais bisous et courages et ont se tiens au courant tu auras un +++++++++++++++++++++ J'aime Salutmoi j'ai eu des douleurs de regles 3 jours avant de faire ma pds et pourtant le resultat est courage bisous belette 1 - J'aime Un grand merci a toutes vos réponses!! cela me rassure vraiment beaucoup !cela était très angoissant je n'arretais psa de pleurer ce weekend la toujours ces douleures même un peu plus fort mais toujours pas de sang!ouf! en tout cas un immense merci et félicitation pour tout vos beau++++ et encore merci de m avoir répondu !! a bientôt je vous donnerai des nouvelles! merci bisous 2 - J'aime Meme question....psychose !!!!Bonjour,Je reprends le fil de la discussion tout d'abord pour savoir es bonnes nouvelles ont été au rendez vous et également car je suis dans la même situation que vous toutes...en attente d'une pds le 11 avril le jour de mon anniversaire suite à une fiv dont le transfert s'est fait le 26 mars...j'angoisse beaucoup car c'est la 4eme FIV ...un parcours très long de plus de 8 ans et je commence à être très affaiblie psychologiquement. Je pense faire une pds apres demain le 8 avril j11 apres le transfert d' embryons. Depuis heir j'ai exacetement les mêmes douleurs que si j'allais avoir mes règles jambes lourdes, mal à l'utérus..et pourtant une douleur qui revient très regulièrement sur le côté gauche de l'utérus qui me redonne espoir...bref JE PSYCHOTE GRAVE....Ceratines peuvent elles me rassurer en me disant que des douleurs IDENTIQUES à des règels peuvent quand même donner un résultat + ??? Merci pour vos témoignages. Bon courage à toutes 2 - J'aime En réponse à Renate13430786 Un grand merci a toutes vos réponses!! cela me rassure vraiment beaucoup !cela était très angoissant je n'arretais psa de pleurer ce weekend la toujours ces douleures même un peu plus fort mais toujours pas de sang!ouf! en tout cas un immense merci et félicitation pour tout vos beau++++ et encore merci de m avoir répondu !! a bientôt je vous donnerai des nouvelles! merci bisousAlors ??????Transfert aussi le 19 mars ... et pds le 2 avril POSITIF Donne nous de tes nouvelles Biz J'aime En réponse à isam_2044854 Alors ??????Transfert aussi le 19 mars ... et pds le 2 avril POSITIF Donne nous de tes nouvelles BizSuiteje n'y croyais pas résultat Positif le 8 avril pds à 32...trop contente mais depuis j'ai un suivi régulier et 6 jours plus tard seulement 102 en étant passé par 80 3 jours apres la 1er, puis 91 encore 48heures après puis 101 encore 48h après...mon gyneco n'est pas très optimiste pour une evolution favorable de la grossesse, je n'ai pas de pertes de sang et j'ai toujours les mêmes symptômes jambes lourdes et seins gonflés...j'attends mon résultats que je vais aller chercher à 12h...donc je psychote encore grave et me fais a l'idée d'un issue non favorable... a suivre courage à toutes celles qui galérent... 1 - J'aime Discussions du même auteur
Dessaignements : les petites pertes -toujours des saignements moins forts que les règles- qui apparaissent les jours après le transfert embryonnaire sont normales et disparaissent, en général, après deux ou trois
Un retard de règles qui se prolonge au-delà de quatre mois consécutifs ? Vous avez 45 ans environ ? C’est peut-être tout simplement les premiers signes de la ménopause dont le processus finira par entraîner l’arrêt définitif des règles. Si la ménopause ne concerne que très rarement les femmes de moins de 45 ans en moyenne, elle se manifeste par différents les signes de la ménopauseLa ménopause est précédée de symptômes caractéristiques, notamment des troubles de règles règles plus douloureuses qu’avant, plus ou moins abondantes qu’avant, raccourcissement ou rallongement des cycles, métrorragies pertes de sang hors des règles… Ces symptômes peuvent ainsi signaler une préménopause, qui doit être confirmée par un médecin après une série d’ ovarienne précoceAu-delà de quatre mois consécutifs d’absence de règles, on peut suspecter une insuffisance ovarienne précoce IOP, qui peut survenir avant l’âge de 40 ans. L’insuffisance ovarienne précoce entraîne des perturbations dans le fonctionnement normal des ovaires, et avec elles, des retards de règles. Mais elle est également marquée par l’apparition d’autres symptômes, tels que les bouffées de chaleur ou les troubles de l’humeur par exemple, habituels lors de la un médecin, sur la base d’analyses sanguines dosages hormonaux ou d’une échographie ovarienne pourra établir un diagnostic d’insuffisance ovarienne précoce.
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douleurs de règles 7 jours après transfert